|
Votre commentaire
|
> Rien ne va plus au Collège de la Calandreta |
2 septembre 2008, par pehache
|
Personnellement j’en pense
1) que les collèges sont du ressort du CG et non pas de la ville
2) que les établissements publics de l’Education Nationale ont déjà bien assez de problèmes comme cela pour ne pas disperser l’argent et autres moyens. Les Calendretas sont des écoles privées, qui doivent trouver leurs propres ressources.
|
> Rien ne va plus au Collège de la Calandreta
2 septembre 2008
Je partage l’avis de Pehache.
Malheureusement, les campagnes électorales sont des moments privilégiés pour les surenchères de promesse ...
> Rien ne va plus au Collège de la Calandreta
6 septembre 2008
los
Les Calandretas sont des écoles associatives. La première Calandreta a été fondée à Pau en 1979.
Le 24 janvier 1990, une Convention a été signée entre Ministère de l’Éducation Nationale et la Confédération des Calandretas, intégrant le personnel enseignant en poste dans le Service Public, faisant de l’Association Calandreta un partenaire de l’Éducation Nationale.
Par la signature, en 1994, d’un Protocole d’accord avec le Minisètre de l’Éducation Nationale, les Calandretas sont officiellement reconnues comme des écoles de promotion de l’enseignement de la langue régionale.
> Rien ne va plus au Collège de la Calandreta
7 septembre 2008, par pehache
OK mais ce sont des écoles privées. Comme elles sont sous contrat avec l’EN les enseignants sont fournis par l’EN (comme pour les autres écoles privées sous contrat), mais ça devrait être tout.
> Rien ne va plus au Collège de la Calandreta
24 septembre 2008, par Deuzède
> Rien ne va plus au Collège de la Calandreta
"ça devrait être tout" pourquoi Pehache tranche-t-il ainsi ? Et les écoles Seaska (langue basque) et les écoles Diwan (langue bretonne)... elles ont bien leurs locaux fournis par les pouvoirs publics ! Publics, oui, parce qu’il s’agit bien d’une volonté POLITIQUE d’aider ces écoles à statut associatif (ou privé oui, privé ce mot affreux pour les bornés) à sauvegarder, défendre et même promouvoir les langues de France.
Mais certains ont des réflexes pavloviens quand ils entendent sonner certains mots. Par exemple : privé, libre, libéral... pire encore : religieux, confessionnel... et du coup ces tics ou ces tocs les empêchent jusqu’à saisir le sens de la discussion.
Bref pour en revenir au coeur du sujet, le maire de Pau avait promis, en effet, d’abriter le collège Calandreta à la rentrée. Mais elle n’avait précisé si ce serait dans des conditions décentes... Alors, les promesses n’engagent que ceux qui les reçoivent. Et Pahache, lui, il est content... Pourquoi ? parce que. Na !
> Rien ne va plus au Collège de la Calandreta
24 septembre 2008, par pehache
"ça devrait être tout" pourquoi Pehache tranche-t-il ainsi ? Et les écoles Seaska (langue basque) et les écoles Diwan (langue bretonne)... elles ont bien leurs locaux fournis par les pouvoirs publics ! Publics, oui, parce qu’il s’agit bien d’une volonté POLITIQUE d’aider ces écoles à statut associatif (ou privé oui, privé ce mot affreux pour les bornés) à sauvegarder, défendre et même promouvoir les langues de France.
Les collectivités publiques n’ont aucune obligation de fournir des locaux pour les écoles privées. Sinon, vu que les enseignants sont déjà fournis et payés par l’EN, je ne vois plus très ce qui reste de "privé" dans l’histoire : personnel public, locaux publics...
Vous dites que certaines le font parce qu’il y a une volonté politique pour la sauvegarde des langues régionales : c’est justement ce que je conteste. L’EN a la charge d’instruire des millions d’écoliers avec de moins en moins de moyens, et elle ne peut faire que du prêt-à-porter.
Tout le monde, moi le premier, aimerait avoir des écoles bilingues pour ses enfants. Mais déjà ne serait-ce que la généralisation de 2h de langue vivante par semaine dans le primaire est un défi énorme actuellement, car c’est pas simple : ce sont pas 2-3 instits qu’il faut trouver, mais former progressivement tous les instits à l’enseignement des langues. Pour que tous les enfants puissent en bénéficier, et pas juste une trentaine de collégiens Calandreta.
Alors si certains, souvent motivés par des lubies régionalistes, veulent du sur-mesure pour leurs chérubins qui ne peuvent pas se contenter du même enseignement que les autres, très bien mais qu’ils l’assument. Notamment au niveau financier.
Les mairies ou conseils généraux, en charge des locaux des écoles et collèges respectivement, ont déjà assez à faire avec les établissements publics, surtout quand on voit l’état et le manque d’équipements pédagogiques de nombre d’entre eux.
Que MLC ait fait une promesse démagogique sur ce sujet est fort regrettable.
|
|
|
 |
|
|
|