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Mode d’emploi : à Mr AUZAT-MAGNE |
7 novembre 2008, par P. AUZAT-MAGNE
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Bonjour Monsieur Klondike,
Merci d’avoir posé cette question.
Je prends mon exemple personnel, même si je n’ai pas été formé avec des cadors, dans une institution "pétée de thunes".
Tous les mercredis après-midi, je donne 4 heures de mon temps pour aider des personnes en difficulté informatique au sein du Centre Social "La Pépinière".
Je fais cela depuis 4 années.
Dans d’autres temps et d’autres lieux, j’ai donné de mon temps dans d’autres domaines.
Je sais que beaucoup de nos concitoyens veulent faire du fric avec tout.
Ma différence, chaque jour, j’essaie de faire une bonne action au minimum, depuis mon adolescence.
J’ai voyagé beaucoup, dans d’autres pays, et je fus très heureux de trouver de l’aide désintéressée, dans des moments essentiels.
Je sais qu’aujourd’hui, une personne qui viendra chez vous, pour vous dépanner en informatique, vous prendra 50 de vos euros, pour un résultat parfois très aléatoire.
Si notre cité laisse autant d’argent pour si peu de personnes, je trouve juste que celles-ci redonnent - appelez cela comme vous voulez - dans une activité d’intérêt général.
L’intérêt Général...
Beaucoup d’entre vous ne savent pas ou ne savent plus ce que c’est.
Trop isolés dans votre individualisme, voire qui confine à l’égoisme mesquin, vous commencez à paniquer quand vous vous faites virer de votre emploi, quand l’ostracisme commence à vous toucher ; alors que celui-ci vous convenez très bien quand il ne touchait que l’autre, cet inconnu.
Je m’amuse beaucoup de ce bâteau qui tangue, parce que des salopards irresponsables ont joué avec l’argent du Peuple, et que maintenant le Peuple doit renflouer.
Des têtes auraient dû tomber.
Ce sont vos enfants, et petits enfants qui vont raquer...
Ils peuvent vous dire merci.
Quand vous donnez de l’argent, sans aucun contrôle, ne vous étonnez pas que l’élastique vous revienne dans la gueule.
Je fais beaucoup de choses qui ne me rapportent rien ; mais par contre qui rapportent à la Communauté.
Par exemple, en Décembre 2003, j’ai fait un procès à la Société LIDL.
Pour non respect de la chaine du froid et vente de produits avariés.
Le Groupe LIDL fut condamné à payer 78 amendes de 250 euros minimum,
chacune à l’Etat Français.
Deux incompétents furent virés. La responsable, et le directeur régional,
et depuis, dans tous les LIDL, vous avez à l’entrée du magasin deux pancartes :
"Satisfait ou Remboursé" et Un N° vert en cas de problème.
J’ai gagné la satisfaction que certains de mes concitoyens soient mieux servis dans le respect de nos lois.
J’ai mis ma connaissance du Droit et ma pugnacité au service de tous.
Beaucoup s’en seraient "foutus" comme toujours.
Je n’ai fait , entre autres matières, que du Droit avec copain Jean-Michel APATHIE.
Et nous n’avions pas les moyens financiers de tous ces "beni-oui-oui" de l’E.I.S.T.I.
Je regrette que Jean-Michel ait un peu "mal tourné" !
P. AUZAT-MAGNE
Pau, vendredi 07 novembre 2008
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> Pour ou contre la marchandisation de l’éducation ? |
30 octobre 2008, par Lou Tillous
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@ Lafitole
Bourdieu a écrit "Les Héritiers", d’accord. Mais ses trois fils ont fait Normale Sup de la rue d’Ulm.
Comme quoi : faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais. Bel exemple d’intellectuel faux-cul !
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> Pour ou contre la marchandisation de l’éducation ?
30 octobre 2008, par pehache
Vous nous aviez habitués à des remarques plus pertinentes, Lou Tillous.
Je serais curieux de savoir où Bourdieu aurait dit qu’il ne fallait pas faire Normale Sup si on pouvait ? A-t’il professé un seul instant qu’il fallait dédaigner les hautes études ? Jusqu’à preuve du contraire, non.
C’est un bien mauvais procès que vous lui faites là.
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> Pour ou contre la marchandisation de l’éducation ? |
28 octobre 2008, par nina
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bravo eric !
on a besoin de gens comme toi pour redresser cette ville
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E.I.S.T.I. , un nouvel O.R.E.P. ? |
28 octobre 2008, par Patrick AUZAT-MAGNE
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Merci à Eric Schatz d’attirer notre attention sur ce coût de l’ E.I.S.T.I.
Quelles sont les retombées pour la cité de PAU ?
Vous vous demandez ce qu’est l’ E.I.S.T.I ?
Allez faire un tour ici :
http://www.vger.eisti.fr/pres/camp/index.dim ?session=6619461
Vous y verrez que cette école chère et privée est le pendant de l’autre entité parisienne.
Donc, j’ai une question :
l’argent investi à PAU sert-il uniquement à l’école paloise ou bien va-t-il aussi à CERGY ?
J’ai eu l’occasion de visiter les locaux.
Ils ont du super matériel pas donné.
Je pense que l’école devrait mettre à la disposition de la commune, les cadors qu’ils forment
à longueur d’années pour la cité puisse retrouver une partie de son investissement.
Savez-vous qui est le directeur de l’école aujourd’hui ?
C’est l’ancien directeur de l’ O.R.E.P.
C’est quoi l’ O.R.E.P. ?
C’était l’ancien Office Régional de l’Education Permanente financé à grand frais par
Le Conseil Général de François Bayrou.
A l’époque, avec mon collègue Jean-Vincent Mineo nous avions aménagé un studio de
télédiffusion pour que le Président Bayrou puisse "télédiffuser depuis son fief".
Ah ah ah ! J’en ris encore... Le Président Bayrou ne s’en est jamais servi.
Appelons cela de la gabegie.
Aujourd’hui qu’est devenu l’ O.R.E.P. ? : Le Centre Nelson Paillou.
Et le directeur de l’Office dirige maintenant l ’E.I.S.T.I.
J’en vois qui ricanent.
Les investissements ne sont pas perdus pour tout le monde.
Patrick AUZAT-MAGNE
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> Mode d’emploi ; à Mr Auzat-Magne
28 octobre 2008, par Klondike
Mode d’emploi
Vous pouvez expliquer comment vous appliqueriez ce que vous recommandez ?? :
Vous citez :
"Je pense que l’école devrait mettre à la disposition de la commune, les cadors qu’ils forment à longueur d’années pour la cité puisse retrouver une partie de son investissement."
Est-ce un défoulement ou une vraie perle d’idée..
Allez, on prend les cinq meilleurs et on en fait quoi ?? On leur donne un CDI à la Ville ??
> Mode d’emploi ; à Mr AUZAT-MAGNE
7 novembre 2008, par P. AUZAT-MAGNE
Bonjour,
Merci d’avoir posé cette question.
Je prends mon exemple personnel, même si je n’ai pas été formé avec des cadors, dans une institution "pétée de thunes".
Tous les mercredis après-midi, je donne 4 heures de mon temps pour aider des personnes en difficulté informatique au sein du Centre Social "La Pépinière".
Je fais cela depuis 4 années.
Dans d’autres temps et d’autres lieux, j’ai donné de mon temps dans d’autres domaines.
Je sais que beaucoup de nos concitoyens veulent faire du fric avec tout.
Ma différence, chaque jour, j’essaie de faire une bonne action au minimum, depuis mon adolescence.
J’ai voyagé beaucoup, dans d’autres pays, et je fus très heureux de trouver de l’aide désintéressée, dans des moments essentiels.
Je sais qu’aujourd’hui, une personne qui viendra chez vous, pour vous dépanner en informatique, vous prendra 50 de vos euros, pour un résultat parfois très aléatoire.
Si notre cité laisse autant d’argent pour si peu de personnes, je trouve juste que celles-ci redonnent - appelez cela comme vous voulez - dans une activité d’intérêt général.
L’intérêt Général...
Beaucoup d’entre vous ne savent pas ou ne savent plus ce que c’est.
Trop isolés dans votre individualisme, voire qui confine à l’égoisme mesquin, vous commencez à paniquer quand vous vous faites virer de votre emploi, quand l’ostracisme commence à vous toucher ; alors que celui-ci vous convenez très bien quand il ne touchait que l’autre, cet inconnu.
Je m’amuse beaucoup de ce bâteau qui tangue, parce que des salopards irresponsables ont joué avec l’argent du Peuple, et que maintenant le Peuple doit renflouer.
Des têtes auraient dû tomber.
Ce sont vos enfants, et petits enfants qui vont raquer...
Ils peuvent vous dire merci.
Quand vous donnez de l’argent, sans aucun contrôle, ne vous étonnez pas que l’élastique vous revienne dans la gueule.
Je fais beaucoup de choses qui ne me rapportent rien ; mais par contre qui rapportent à la Communauté.
Par exemple, en Décembre 2003, j’ai fait un procès à la Société LIDL.
Pour non respect de la chaine du froid et vente de produits avariés.
Le Groupe LIDL fut condamné à payer 78 amendes de 250 euros minimum,
chacune à l’Etat Français.
Deux incompétents furent virés. La responsable, et le directeur régional,
et depuis, dans tous les LIDL, vous avez à l’entrée du magasin deux pancartes :
"Satisfait ou Remboursé" et Un N° vert en cas de problème.
J’ai gagné la satisfaction que certains de mes concitoyens soient mieux servis dans le respect de nos lois.
J’ai mis ma connaissance du Droit et ma pugnacité au service de tous.
Beaucoup s’en seraient "foutus" comme toujours.
Je n’ai fait , entre autres matières, que du Droit avec mon copain Jean-Michel APATHIE.
Et nous n’avions pas les moyens financiers de tous ces "beni-oui-oui" de l’E.I.S.T.I.
Je regrette que Jean-Michel ait un peu "mal tourné" !
P. AUZAT-MAGNE
Pau, vendredi 07 novembre 2008
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> Pour ou contre la marchandisation de l’éducation ? |
27 octobre 2008, par Chat qui dort
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Ses analyses tranchaient dans le ron-ron des conseils municipaux. Il doit y manquer cruellement !
Bienvenue à bord, Erik Schatz, s’il s’agit de donner des informations lucides et un point de vue original, plein de bon sens, même s’il est cruel pour nos décideurs !
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> Merchandisation ? Quésaco ?? |
27 octobre 2008, par Klondike
Merchandisation ? Quésaco ?? |
Alternatives Paloises donne dans le pathos socialo-révolutionnaire (le même n’arrive pas à assurer la survie du Parti Communiste, trouvez autre chose..)je m’explique.
Il y a peu, AP traitait d’"ultralibéralisme". C’est quoi cet ultra-machin" ?? On se doute que c’est pire que le machin. Seule chose qui est claire c’est que c’est Sarko qui en est coupable, on ne cherche pas à en dire davantage. Sarko plus capitalo que Bush ?? à voir...
Maintenant le "merchandising" c’est quoi au juste ? Ca doit être grave, c’est sûr, mais c’est quoi ??
Donner des subventions à l’EISTI, est-ce pire que de financer l’Ecole Privée ? Sinon, on n’a rien inventé !
Quand une entreprise fait une ristourne sur un PC à l’education nationale, c’est du "merdanchismatique" ??
En balançant des mots epouvantails de la sorte, on est sûr d’atteindre son but : sans que le peuple sache vraiment de quoi il en retourne, on lui demande de réagir à la mesure de la gravité supposée. C’est parler pour ne rien dire sauf faire monter la peur en suscitant le doute et l’incompréhension : (agitation, manipulation).
La merchandisation je croyais que c’était placer l’enseignement face à ses responsabilités, à savoir former le mieux possible tout en gérant de façon responsable ses dépenses quitte à séduire des industriels pour qu’ils s’associent au projet en apportant les fonds qui manquent tant sur le terrain (et pas au Ministère, notez-le).
Alors, oui, je suis pour la merchandisation de l’Enseignement, car dépenser à fonds perdus dans nos chères Universités pour les piètres résultats qu’elles affichent au niveau mondial, ça n’est pas rendre service à nos jeunes mais cultiver le fond de commerces de nos idéologues bien planqués dans le système !
Financer une école qui apporte quelque chose à la ville et aux jeunes d’ici, pourquoi pas ?
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> Merchandisation ? Quésaco ??
27 octobre 2008
Klondike ! Mar-chan-di-sa-tion et non mer-chan-di-sa-tion. Encore un qui a dû apprendre à lire avec la méthode globale ... et qui a compris l’article de travers. Pas de salut dans le supérieur à part les écoles de commerce ou ... l’EISTI !!!
> l’EISTI : une boite privée pour fils à papa ?
28 octobre 2008, par Alan Turing
Précisément : Eric Schatz ne parle pas pour ne rien dire. Il donne des chiffres éloquents (droits d’inscription faramineux pour les étudiants de l’EISTI, subventions publiques tirées de nos impots...). Ces chiffres méritent que l’on y porte attention, tout autant que les subventions largement distribuées à des clubs de sport, ou plutôt de jeu-spectacle.
Il faut savoir que si le ratio enseigné/enseignant rapporté par la presse est étonnant, car proche de 2, cette école fonctionne essentiellement avec des vacataires. Beaucoup d’entre eux n’ont pas été retenus lors des concours ouverts dans les universités. Ce n’est pas infamant, car la sélection des maitres de conférences dans les universités est très sévère. Mais qu’en est-il de la contribution de cette école en matière de recherche ? Qu’en est-il du soutien qu’elle apporterait au pôle universitaire palois ?
Pour ce qui est des universités : La France est en 5e position pour le nombre de publications et en 16e pour le financement de la recherche académique. Notre système de recherche est-il inefficace ou insuffisamment financé ?
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> Pour ou contre la marchandisation de l’éducation ? |
27 octobre 2008, par doudou
MARCHANDISATION |
Je suis tout a fait d accord avec cette idée c’est meme une grace de voir ques des industriels s intéressent a nos pauvres universités car on ne peut pas n avoir que les deniers de l ETAT il n en a pas les moyens aussi c’est un don du ciel que le privé en l occurence les industries puissent donner quelques subsides pour que nos étudiants etudient dans la sérénité cela se fait au USA pourquoi cela ne se ferait pas chez nous aussi je ne peux qu approuver cette initiative qui honore la personne qui l a prise.
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> Pour ou contre la marchandisation de l’éducation ?
27 octobre 2008
Pas tout à fait compris le problème , Doudou !
L’EISTI est une école PRIVEE. Elle est d’ailleurs très coûteuse pour les familles qui y inscrivent leurs jeunes.
C’est essentiellement à partir de vos fonds publics qu’elle a été financée.
Le problème est de savoir si une mairie, une communauté de communes ou une autre collectivité publique a pour mission d’injecter des fonds à cette hauteur et de soutenir ce type d’entreprise de formation à but lucratif.
Développer cette offre dans le secteur public aurait été bien moins coûteux et plus démocratique car moins cher pour les familles (à défaut d’être gratuit).
C’est donc aussi un problème de gestion d’argent public par nos édiles !
> Pour ou contre la marchandisation de l’éducation ?
27 octobre 2008, par Robert
Je cite Doudou :
"C’est même une grâce de voir..."
"c’est un don du ciel"...
Amen !
On comprend bien pourquoi Doudou est d’accord avec l’idée la marchandisation de l’éducation.
> Pour ou contre la marchandisation de l’éducation ?
27 octobre 2008, par Bernard Castagnet
Je suis contre la marchandisation de l’éducation et adhère à 100% au texte d’Eric Schatz .Je pense que beaucoup de nos concitoyens y adhéreraient d’ailleurs également s’ils étaient au courant et s’y on prenait le temps de leur poser la question . Au moment de l’orientation post-bac les élèves de terminale reçoivent des informations sur toutes les structures capables de répondre à leur souhait d’orientation . C’est alors un vrai dédale entre les propositions émanant du secteur privé et celle émanant du secteur public .Pour le premier les propositions sont très souvent alléchantes avec mise en avant, avec force photos ou vidéos, des activités péri-scolaires proposées .
C’est un choix rassurant pour les élèves que le hasard a fait naitre dans un milieu social favorisé financièrement d’autant plus que la sélection ne se fait pas sur le niveau de compétence évalué en terminale .L’ambiance générale étant au rejet du service public il ne faut pas s’étonner que des structures de l’Etat se sentent autorisées à favoriser un établissement privé d’éducation . Ceux qui se retrouvent encore dans les valeurs autrefois mises en avant par notre République " Liberté , Egalité , Fraternité" doivent inlassablement rappeler que d’autres choix sont possibles .
Ce que nous voulons pour nos enfants...
27 octobre 2008, par lafitole
Pour mémoire, ces dérives d’attribution de fonds publics à des établissements privés ne concernent pas uniquement l’enseignement supérieur. Des écoles, collèges et lycées privés font l’objet d’aides de la part de municipalités dites de gauche. ça peut toujours aider, par la suite, dans le cadre d’une réélection, par exemple...Rappellons enfin qu’aux États Unis, la somme de ces petites dérives depuis une cinquantaine d’années a conduit à une erradication de l’enseignement public qui n’est plus que l’ultime refuge des laissés pour compte du miracle économique américain (enfin, miracle jusqu’à ces dernières semaines...). le tout est de savoir si, au-delà des partenariats indispensables entre recherche publique et privée, on souhaite favoriser par le biais de l’enseignement une sorte de "reproduction sociale" déjà décriée en son temps par quelqu’un comme Pierre Bourdieu dans "Les Héritiers". L’ascenseur social est aujourd’hui en panne, et ce n’est pas en déshabillant Paul pour habiller Pierre, ou l’inverse, comme le fait en l’occurence la ville de Pau, qu’on parviendra à inverser une tendance mortifère pour l’accès au savoir.
> Ce que nous voulons pour nos enfants...
27 octobre 2008, par Vince
...Rappellons enfin qu’aux États Unis, la somme de ces petites dérives depuis une cinquantaine d’années a conduit à une erradication de l’enseignement public qui n’est plus que l’ultime refuge des laissés pour compte affirmation rapide et simpliste, car à côté d’université pivées prestigieuses (Harvard, etc), l’enseignement supérieur est dispensé dans des "colleges" et des "universities" gérées par les Etats ou par les villes. Il faut se renseigner car le nom ne suffit pas pour savoir si c’est public ou bien privé
Et pour moi qui suis "hors jeu" je m’étonne de cette forme de remarque, où parmi les plus véhéments à dénoncer le privé beaucoup ont fait Sciences Po, une école éminemment privée avant de se retrouver à des postes enviés !
> Ce que nous voulons pour nos enfants...
28 octobre 2008, par lafitole
je parlais surtout ici de l’enseignement dans les petites classes. On en est arrivé à un stade où il faut se positionner pratiquement dès la conception du gamin pour postuler dans les écoles privées, un peu comme en france pour les crèches. Est-ce ça que l’on veut chez nous ? Les enseignements Montessory et autres ont certes fait leurs preuves, une école comme l’École Internationale à Pau / berlanne est certes séduisante avec son enseignement bilingue, mais qui peut financièrement approcher ce type d’établissement ? C’est ça qui se passe aux états unis, c’est la réalité, et ce n’est pas une affirmation simpliste, même s’il faudrait plus de temps pour développer les systèmes éducatifs états - uniens.
> De la qualité de l’enseignement
28 octobre 2008, par Klondike
De la qualité de l’enseignement
La "mArchandisation" sous-tend l’idée de financement (de fric diront certains, ça fait plus rentre dans le lard) et amène au dilemme public-privé.
Il est de bon ton de pleurer sur le mauvais sort fait au public et de lui opposer l’inévitable amalgame privé-fric.
On dit que le privé est cher mais par ailleurs on refuse qu’il soit payé par l’Etat : rien de surprenant que seuls les argentés se le paye !
La doctrine a tenté (Mimi 81) de casser le thermomètre en abolissant l’intru à la morale laique. Levée de boucliers !!! L’enseignement privé est toujours là avec ses défenseurs (laics pour beaucoup) Pourquoi ?
De la primaire à la fac, l’enseignement est devenu un lieu de combats politiques dont les élèves sont otages. A côté des bons profs non reconnus sévissent des fumistes (absentéisme, détachement total de l’avenir des élèves, refus de changer ses méthodes, etc..) outrageusement protégés par les syndicats.
Qui veut assurer sérieusement son avenir evitera la case "fac", sauf à rechercher la formation "lutte des classes". Seuls les plus pragmatiques s’en sortent.
A écouter certains, il suffirait d’abolir les filières d’excellence pour restaurer de facto le prestige des facs ! Casser le thermomètre, encore !
Le vrai remède exige lucidité et courage : que l’enseignement public démontre sa réelle qualité et sa superiorité et les clients oublieront le privé et les filières d’excellence. Pleurer sur les moyens et le "marchandising" est futile, manipulateur et propagandiste !
> De la qualité de l’enseignement
29 octobre 2008, par Robert
Fonds publics uniquement à l’école publique, pas un centime à l’école privée !!! L’enseignement public n’aurait pas à démontrer sa réelle qualité car il EST de qualité mais on lui retire tous les moyens.
> De la qualité de l’enseignement
29 octobre 2008, par Klondike
De Qualité ??
L’enseignement en France "est de qualité" Point Barre, circulez, y’a rien à voir !
En 14 et en 39 on avait déjà les meilleures armées, aujourd’hui le meilleur enseignement, etc, etc,
Tant d’affirmations pour eviter (empêcher ?)d’ouvrir les yeux. Qui protège-t-on ? Nos jeunes ou bien une caste qui refuse y compris l’ouverture de l’Enseignement sur le monde réel ?
> De la qualité de l’enseignement
29 octobre 2008
Succulent de lire des propos les plus stéréotypés et les plus Sarkozistes sur l’éducation (facs =repaires de gauchistes, profs souvent absents, incompétents et conservateurs, syndicats rétrogrades)venir au secours des choix politiques de Martine Lignières-Cassou en matière d’éducation.
Il est vrai que sans Sarko, Martine n’aurait jamais été élue !
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