|
Votre commentaire
|
> Basta la réussite |
17 janvier 2009, par Klondike
Basta la réussite !!! |
Finalement Mr Boutin, ne gâchez plus notre plaisir avec des histoires de réussite ! Vous le savez, dans ce Pays, on deteste ceux qui réussissent.
D’ailleurs, réussir, c’est hautement suspect. La réussite transpire l’exploitation, les magouilles, les choses pas claires "quelque part" !
Donc, basta la réussite, donnez nous des bons sujets avec lesquels on peut faire oeuvre utile, j’entends par là, s’envoyer des bons vieux "rats crevés" avec lesquels nos idées bornées et partisanes peuvent s’affronter, manier le mensonge, le discrédit, la calomnie !
Regardez votre pavé "chahut au Zénith", ça donne hein ?? Pas grand chose sur le fond, mais on peut règler ses vieux comptes, même avec les morts !
Finalement, Mr Boutin, chercher à sortir ce Pays de la mouise, ça demande des idées, il faudrait se creuser la cervelle, et ça, on s’en fout !!! On préfère les débats viriles, on n’est pas des rugbymens pour rien !
Les débats stériles, ça défoule, et au moins personne ne pourra nous reprocher d’avoir proposé quoi que ce soit ! Ainsi, on aura toujours quelque "os" à ronger....
Post Scriptum : Mes sincères félicitations quand même à Mme Séguinotte.
|
> Basta la réussite
19 janvier 2009, par georges2
Je ne pense pas que les gens détestent ceux qui réussissent. Il faudrait s’entendre sur la valeur du mot"réussite". C’est un jugement de valeur qui peut se situer à de nombreux niveaux : social, personnel, politique, économique, professionnel. Il est bien évident que la médiatisation de cette réussite dépend de l’intérêt recherché par les médias (ce qui fait de l’audience), parfois au service des médias eux-mêmes (monde du spectacle) ; il peut y avoir une volonté de mettre en valeur une action politique ou économique.
Dans cet esprit, on peut très bien admirer une réussite personnelle, familiale, sociale, culturelle, intellectuelle, anthropique, souvent très discrète, et ne pas avoir la même motivation pour une réussite qui serait plutôt une recherche de pouvoir, éventuellement de puissance, de reconnaissance, pourquoi pas d’enrichissement financier. On peut peut-être reconnaître le libre choix, à chacun, de situer la réussite là où ses convictions le poussent.
Quant à sortir le Pays de la mouise, je crois que tout le monde est d’accord, ce serait pourtant une réussite !!
> Basta la réussite
19 janvier 2009, par Le Pti K.
A georges2 : vos commentaires sont tout à fait respectables (stricto sensu). C’est peut-être une illusion d’(optique médiatique)que de voir trop souvent que ceux qui (soi-disant) "réussissent" ont des allures d’arrivistes. Personnellement, je pense que l’arrivisme n’est pas une réussite mais un jeu de poker menteur. Et le mensonge n’est jamais gagnant à la table de l’honnête homme.
|
> Hélène SEGUINOTTE |
13 janvier 2009, par georges2
|
Ma vie personnelle ! Quelques mots discrets à la fin. C’est effectivement une chose importante. On se demande, dans tout ce palmarès brillant et économiquement bien rempli, si la vie de la femme l’est aussi, avec la même réussite.
Cette splendide organisatrice pour gérer les entreprises est-elle aussi une splendide humaniste capable de gérer une vie humaine. Personnellement, il me semble difficile de mener, avec la même intensité, en parallèle, la rentabilité et la gestion affective, intellectuelle, donc non quantifiée, d’une famille par exemple, une des composantes incontournables d’une vie humaine réussie. On ne manquera pas de me faire remarquer que la vie est un choix, que notre société nous permet. Je reconnais que chacun, heureusement, a cette possibilité, s’il le peut, de trouver son épanouissement où il veut.
Félicitations donc d’avoir exalté les qualités incomparables de cette femme : l’intelligence, le courage, la ténacité ? C’est effectivement un exemple pour beaucoup de nos jeunes.
Je pense qu’A@P aura à coeur de mettre en valeur, une prochaine fois, d’autres femmes, et il n’en manque pas, qui ont contribué et contribuent toujours à substituer au progrès économique, le progrès humain, c’est-à-dire la capacité à créer de la richesse affective et à engendrer du bonheur. De la vie de tous les jours pour une femme africaine avec toute sa marmaille, de l’eau polluée, sans nourriture suffisante, dont l’homme a été tué par la guerre ou le sida, à la femme engagée dans des associations humanitaires ou celles, en religion, qui sacrifient leur vie aux autres ; c’est moins médiatique, c’est moins valorisant, mais comme c’est beau et respectable. Elles aussi peuvent servir d’exemple à nos jeunes
|
|
> Hélène SEGUINOTTE |
13 janvier 2009, par Klondike
Relativité |
En lisant des interviews semblables à celle d ’Helène Séguinotte par A@P je me dis que tout espoir n’est pas perdu dans ce pays ; Il reste encore quelques gaulois(es) qui prèfèrent retrousser les manches plutôt que de palabrer en vain sur leurs malheurs !
Mais, en comparant la quasi absence de réactions à cet article d’une part, au déferlement de vociférations partisanes répandu dans "Chahut au Zénith", je me dis que ce Pays est loin de sortir de l’ornière !
Tant que le succès laissera autant indifférent et que les rubriques de chiens écrasés soulèveront les passions, nos démagogues auront les cartes en main pour tirer les ficelles de notre société en echec.
|
|
> Hélène SEGUINOTTE |
12 janvier 2009, par Klondike
Bravo HS !!!! |
Bel exemple de tenacité de courage et de réussite, qui plus est de la part d’une femme bravo !!
Puisse Helène Séguinotte être un exemple pour la jeunesse de l’Hexagone trop encouragée par ailleurs "à se mettre la tête sous l’aile".
Eh oui, écoutez cette Hélène Séguinotte plutôt que nos Bové ou Besancenot, ces idoles en carton.. qui nous mènent... au carton !
Et si Hélène Séguinotte avait l’opportunité de faire un petit séminaire "debout les jeunes" ???
|
|
> Hélène SEGUINOTTE |
12 janvier 2009, par Jean Lafitte
|
Excusez-moi d’aborder un sujet de simple forme, mais quand même ! Cette interview comporte deux fois le mot "faîte" (participe passé féminin singulier de "faire)et une fois le mot "faîtes" (2ème personne du pluriel de l’indicatif de ce même verbe), repris de même dans la marge droite avec « Avec A@P, faîtes un cadeau de Noël original ! ».
Or seul le substantif "faîte" (= sommet) a un î, et encore ce n’est plus que facultatif, l’Académie française ayant adopté en 1990 la suppression de la plupart des î et û.
Pour une fois qu’on simplifie !
Cordialement,
J.L.
|
|
|
|
 |
|
|
|