La vaccination est un sujet pour le moins très controversé, particulièrement en France ou le système de santé est étatisé, rendu obligatoire d’où un certain risque de dérives. La santé à n’importe quel prix ? La santé contre notre gré ? La France est le seul pays à continuer de rendre obligatoire un certain nombre de vaccin et à inciter officiellement à se vacciner contre bon nombre de maladie. Or, si le discours gouvernemental ainsi que celui des grands groupes pharmaceutiques sont en parfaite adéquation à ce sujet, un certain nombre de voix s’élèvent pour attirer l’attention sur les conséquences de la vaccination, à la suite de l’apparition d’effets secondaires chez certaines personnes, tels l’autisme ou la sclérose en plaques. Alors que de nombreux spécialistes reconnus sonnent l’alarme, les autorités de santé publique et les compagnies pharmaceutiques continuent de faire la sourde oreille. Car comment faire de la vie, de la santé, avec des produits hautement toxiques (formol, nécrosant des cellules, classé en 2004 comme cancérigène) certains détergents, du mercure, métal lourd et important poison, très toxique, (principal pourvoyeur d’autisme), du squalène [jugé responsable du syndrome de la guerre du Golfe], responsable de stérilité et de maladies auto-immunes, dont le syndrome de Guillain-Barré [maladie neurologique dégénérative] ; de aluminium pour certains lots, responsable de multiples troubles et maladies, dont celle d’Alzheimer ; résidus de virus liés au mode de production ; sans parler d’autres produits ou "additifs" possibles, sinon probables, injectés à ces occasions de vaccination. Il existe toute une littérature, des témoignages, des recherches qui contredisent la version officielle à laquelle, semblerait il, "on" aimerait continuer à nous faire croire.
La mafia médicale, (Dr G. LANCTOT), Ed. Voici la clé,
La dictature médico-scientifique, (Sylvie SIMON), Ed. Filipacchi,
Vaccination erreur médicale du siècle, (Dr L. De BROUWER), Ed. Louise Courteau,
Danse avec le diable (G. SCHWAB), Ed. Courrier du livre,
Dossiers sur le gouvernement mondial, (A. MEUROIS-GIVAUDAN), Ed. Amrita,
La guerre des virus, (L. HOROWITZ), Ed. Félix,
Au coeur du vivant, (J. BOUSQUET), Ed. Saint Michel,
Le malade déchaîné, (R. BICKEL), auto édité,
Les chemins de la souveraineté individuelle, (R. BICKEL), auto édité,
Vaccinations : l’Overdose, (Sylvie SIMON), Ed. Déjà,
Tétanos, le mirage de la vaccination, (F. JOET), Ed. Alis,
Pour en Finir avec Pasteur, (Dr Eric ANCELET), Ed. Marco Pietteur,
La santé confisquée, (Mirko et Monique BELJANSKI), Ed. Compagnie,
La lumière médicale, (Dr Norbert BENSAÏD), Ed. le Seuil,
Mon enfant et les vaccins, (Dr F. BERTHOUD), Ed. Soleil,
On peut tuer ton enfant, (Dr P. CHAVANON), Ed. Médicis,
Vaccination, Social Violence ans Criminality, North Atlantic Books, Berkley 1990,
A shot in the dark, (Dr HARRIS et B Loe FISHER), Avery Publishing group, 1991,
Les Vérités indésirables,
Le cas Pasteur (Archives Internationales Claude BERNARD), Ed. La Vieille Taupe, 1989,
L’intoxication vaccinales, (F. DELARUE), Ed. Le Seuil, 1977,
La rançon des vaccinations, (Simone DELARUE), Ed. LNPLV, Ed 1988,
Live viral vaccine, biological pollution, (Pr R DELONG), Cartlon Press Corp, New Yorl, 1996,
L’intox, quelques vérités sur vos médicaments, (Dr Bruno DONATINI), Ed. MIF,
Adverse effects of Pertussis and Rubella vaccines, Washington DC National Academy Press, 1991,
Des lobbies contre la santé, (Roger LENGLET), Ed. Syros,
La médecine retrouvée, (Dr ELMIGER), Ed. Léa,
Vaccinations : prévention ou agression ?, (M. Th. QUENTIN), Ed. Vivez Soleil,
Des enfants sains même sans médecin, (Dr R. MENDELSOHN), Ed. Soleil 1987,
Immunisation, Theory versus reality, New Atlantean Press, 1996,
La poliomyélite, quel vaccin ? quel risque ?, (Dr Jean PILETTE), Ed. de l’Aronde, 1997,
LA catastrophe des vaccins obligatoires, (Pr TOSSOT), Ed. de l’Ouest, 1950,
Les dessous des vaccinations, (Dr SCOHY), Ed. Cheminements,
Tuberculose et vaccin B.C.G., (Pr GRIGORAKI),
Le tabou des vaccinations. Danger des vaccins, thérapies naturelles de prévention des maladies infectieuses, (Miller Schär MANZOLI),
Déjà vacciné ? Comment s’en sortit ?, (Dr A. BANOIS - Sylvie SIMON),
Vaccinations : le droit de choisir, (Dr F. CHOFFAT), Ed. Jouvence,
12 balles pour un veto, (Dr QUIQUANDON), Ed. Agriculture et Vie, 1978,
Les radis de la colère, (J.-P. JOSEPH, Avocat à Grenoble), Ed. Louise Courteau,
Vaccinations, les vérités indésirables, (Pr GEORGET), Ed. DANGLES, préface du Pr CORNILLOT, Doyen de la Faculté de Médecine de Bobigny,
Nous te protégerons, (Dr Jean PILETTE), Ed. Daxhelt,
La faillite du B.C.G., (Dr Marcel FERRU, Pr honoraire de clinique médicale infantile), Ed. Princeps,
La Santé Publique en otage, (Eric GIACOMETTI), Ed. Albin Michel,
Vaccin Hépatite B : Les coulisses d’un scandale, (Sylvie SIMON et Dr Marc VERCOUTERE), Ed. Marco Pietteur. Quant à ce cher Pasteur, dont on fait le symbole de la vaccination, on oublie de rappeler sa déclaration, sur son lit de mort "Béchamp avait raison, le microbe n’est rien, le terrain est tout" ce qui remet en question le fondement même de la vaccination, pierre angulaire de notre "médecine moderne". Cette médecine qui est prise dans une spirale infernale. Nous avons aujourd’hui le sentiment que sans elle , on ne pourrait pas exister. La référence médicale constitue la nouvelle identité du corps, la nouvelle religion, on reporte sur elle la responsabilité totale de notre propre corps. On mange n’importe quoi tout en prenant des médicaments pour maigrir. On fume 2 paquets de cigarettes par jour et on demande des scanners pour déceler un cancer du poumon. Chacun croit pouvoir faire ce qu’il veut, car il sera sauvé par la médecine. Cette situation très préjudiciable. Cette foi en une médecine toute puissante est alimentée par des succès spectaculaires qui ne concernent en réalité qu’un tout petit nombre de malades. Mais l’économie a très bien compris qu’il fallait susciter ce désir de médecine. Si l’ensemble des êtres humains est convaincu que pour survivre, il faut des examens toutes les dix secondes, c’est une amorce de consommation sans fin . Il y là quelque chose qui relève de l’escroquerie et auquel nous sommes d’une certaine façon incités par notre idéologie, nos modes d’éducations et de consommation. Pour conclure au sujet de la vaccination ;
L’acte vaccinal n’est pas un acte administratif mais un acte médical. L’exercice de la médecine foraine est interdit (cf. article 74 du code de déontologie médicale). En tant que tel, il est régi par l’article 16-3 du code civil qui stipule qu’il ne peut-être porté atteinte à l’intégrité du corps humain qu’en cas de nécessité médicale pour la personne. Le consentement de l’intéressé doit être recueilli préalablement".
L’article 16-1 dispose également que "chacun a droit au respect de son corps", et que "le corps humain est inviolable".
L’article 16 mentionne aussi que "la loi assure la primauté de la personne, interdit toute atteinte à la dignité de celle-ci et garantit le respect de l’être humain dès le commencement de sa vie".
Les dispositions des articles 16 du code civil sont d’ordre public (cf. article 16-9). Elles s’imposent ainsi à toute juridiction.
L’article 16-3 du code civil établit la liberté de choix thérapeutique concernant notamment l’acte vaccinal. Ces droits qui correspondent au droit de l’homme occupent la première place dans la hiérarchie des normes juridiques.
Il en résulte que ces droits fondamentaux de la personne font échec aux lois d’obligation vaccinale, qui, insérées dans le code de santé publique, ne relèvent que des ’"droits sociaux", et qui n’occupent par conséquent qu’une place inférieure aux droits de l’homme dans cette hiérarchie des normes.
En résumé, le refus de consentir à l’acte médical qu’est une vaccination résulte bien des dispositions de l’article 16/3 du code civil, d’une part, et son organisation et sa mise en œuvre des deux arrêts précités de la Cour de Cassation, d’autre part.
Commentaire : Il est évident que lorsqu’une personne en bonne santé, à la suite d’une vaccination, tombe malade, le médecin qui a prescrit la vaccination et - si c’est quelqu’un d’autre - celui qui l’a exécuté ont, tous deux, fait courir au patient un risque injustifié, ce pour quoi ils doivent, selon la loi, avoir des comptes à rendre devant un tribunal, qui, si la chose est confirmée lors du procès, pourra, pour cela, les condamner et ordonner l’indemnisation des victimes.
Un conseil : En présence d’une demande émanant d’une "autorité" quelconque, commencez par exiger : Qu’elle soit formulée par écrit. Qu’elle cite le texte légal, les références juridiques précises sur laquelle s’appuie ladite autorité pour réclamer telle ou telle vaccination. En matière juridique, c’est là une règle absolue.
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