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Votre commentaire
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> LGV : Demain, la Section Paloise en fédérale ! |
23 janvier 2010, par Bernard Boutin
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Bonjour,
A l’attention de LOUIS H
Votre dernier message sur le forum ne correspond pas à l’esprit de la "Charte éditoriale d’A@P". Nous vous recommandons d’en prendre connaissance :
http://www.alternatives-paloises.com/charte.php3 ?id_article=782
Nous retirons du site le message incriminé.
Alternativement Vôtres
La Rédaction d’A@P
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> LGV : Demain, la Section Paloise en fédérale ! |
18 janvier 2010, par Bruno
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pehache reprend la polémique et attaque encore. Délires dépressifs, s’il le dit, mais envisager l’avenir sur le temps long avec un peu de réalisme et de sérieux, en 2010, à Pau, n’est pas réjouissant, hors vue étroite et archaïsme, ou autres hypothèses saugrenues, telle des tours ovales sur le sîte de la Foire expo, ou les Halles vers la gare pour que les producteurs et les consommateurs prennent le train et une économie locale fondée sur l’exploitation des vaches, (celles du drapeau béarnais...).
pehache, vous indiquiez dans notre dernier échange que Pau n’était pas enclavé, vous aviez raison ; j’avais d’ailleurs écrit que la LGV enclavera la ville. Vous ne comprenez pas, visiblement, et dès lors tentez de polémiquer vainement ; je maintiens tout, j’insiste, malgré vos remarques qui indiquent que vous n’empruntez pas souvent le train et connaissez peu l’Aquitainte et les territoires qui entourent la ville par délà Orthez et Nay.
J’ai toujours écrit sur Alternatives que le barreau Béarno-Bigourdan n’était pas réaliste sans prolongement outre Pyrénées, et que la ligne passerait par Dax, au détriment de Pau et du Béarn. Je n’ai pas eu tord et je suis là pour une fois en accord avec MLC : "sans la LGV, on est mort", (in L’Express). Donc
RIP, et merci nos politiques et la CCI pour leur projet stupide via Hagetmau et terminus Tarbes, et merci aussi Orthez pour la sabotage de l’idée d’une ligne nouvelle qui ne soit celle tracée au XIXème.
Aussi je rapprochais dans mon commentaire les réticences basques et les frustrations béarnaises à propos de la LGV et les coûts que constitue cette entreprise pour des territoires qu’elle déservira. Un paradoxe local et un paradoxe fiscal.
Mais pehache tient à descendre en gare de Dax ou à choisir son train parmi peu, au départ de Pau.
A vous maintenant de tirer le dernier...
PS : cependant que résidant landais, je suis palois et connaît intimement cette ville, comme beaucoup ici, ( je paie aussi beaucoup d’impôt, qui ne sont pas une invention locale comme certains semblent croire).
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> LGV : Demain, la Section Paloise en fédérale !
18 janvier 2010, par Rêveur des villes
Aujourd’hui, Pau-Dax = 51 minutes pour 88 km (approximation avec la route), soit du 104 km/h de moyenne.
Décomposés à peu près en :
Pau-Orthez : 22 minutes pour 48 km soit 131 km/h de moyenne.
Orthez-Dax : 26 minutes pour 40 km soit 92 km/h de moyenne.
+ 2 minutes d’arrêt à Orthez.
Ce qui va peut-être se faire, à mon avis : une LGV Dax-Orthez et un relèvement de vitesse sur Orthez-Pau.
Avec une LGV Pau-Dax, Dax serait à environ 25 minutes (je pense), avec arrivée à la gare actuelle. On gagnerait 25 minutes par rapport à aujourd’hui.
> LGV : Demain, la Section Paloise en fédérale !
19 janvier 2010, par pehache
Mais pehache tient à descendre en gare de Dax ou à choisir son train parmi peu, au départ de Pau.
Ni l’un ni l’autre : 95% des fois où j’ai fait le trajet Pau<->Paris en TGV, je n’ai pas changé à Dax. Avec 6 TGV directs par jour on a le choix. Et demain ce ne pourra être que mieux.
Mais vous avez visiblement besoin de faire croire le contraire pour alimenter votre catastrophisme enclaviste.
> LGV : Demain, la Section Paloise en fédérale !
19 janvier 2010, par Bruno
La LGV changera la donne ; vous ne semblez pas le comprendre.
> LGV : Demain, la Section Paloise en fédérale !
19 janvier 2010, par pehache
Effectivement elle changera la donne pour Pau : on mettra moins de temps pour aller à Paris et il y aura plus de TGV directs.
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> LGV : Demain, la Section Paloise en fédérale ! |
18 janvier 2010, par pehache
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Mais enfin, pourquoi s’obstiner à donner de l’importance et à relayer ainsi les délires dépressifs de Bruno ??? Je suis désolé mais il faut dire telles qu’elles sont : ce texte est un tissu d’âneries démenties par les faits, et de prophéties à la Nostradamus.
Pour les arguments se réfèrer à ce forum, je ne vais pas tout répéter :
http://www.alternatives-paloises.com/article.php3 ?id_article=3337
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> LGV : Demain, la Section Paloise en fédérale !
18 janvier 2010, par pehache
Juste un exemple qui montre à quel point ces histoires d’enclavement et de désenclavement et de désenclavement font l’objet de discours irrationnnels :
Mont-de-Marsan est typiquement une ville que tout le monde considère comme enclavée et à désenclaver d’urgence : elle n’est même pas reliée au réseau grandes lignes de la SNCF, n’est desservie par aucune autoroute. A désenclaver d’urgence évidemment !
Néanmoins, entre 1975 et 2006, sa population a augmenté de 15%.
A l’inverse, Bourg-en-Bresse, de taille comparable, est extrêmement bien reliée à Paris, Lyon, Genève, et le Nord-Est de la France, grâce à deux autoroutes et au TGV Paris-Genève. Difficile de faire mieux !
Et pourtant, entre 1975 et 2006, sa population a diminué de 5% !
Ce qui relativise pour le moins fortement l’hystérie "sans LGV et sans autoroute point de salut" ! Que répondent les désenclavistes forcenés à cela ?
> LGV : Demain, la Section Paloise en fédérale !
18 janvier 2010, par Bruno
A Bourg, je ne sais pas, mais à Mont de Marsan, on ne pense pas comme vous. Madame le Maire d’ici, dans sud ouest ce jour, estime que la LGV rattrape l’échec ferroviaire du dix neuvième siècle, (la ligne par Dax et la correspondance vers Morcenx). Mont de Marsan-Paris est un calvaire au regard duquel Pau-Paris est une luxueuse aisance.
Mont de Marsan est enclavée et se vit comme telle ; attirent surtout l’espace, la tranquilité, la fonction publique, l’armée de l’Air, le prix du M2 constructible et ceux de l’immobilier, le climat et la proximité des plages.
Egalement, dans les Landes, de Mont de Marsan une départementale quatre voies relie la sous-préfecture, une autre un chef lieu de canton, Saint Sever, (5O M EUR) ; une autre reliera la ville à l’échangeur de l’A65 et la gare TGV prévue à sa proximité, (au Caloy).
Ce qui pose question en Béarn est évident dans les Landes. Routes, rails, population, innovation, industrie nouvelle sont les bienvenues.
Bourg en Bresse était peut être une vieille petite ville industrielle, dans l’Est de la France, trop loin du litorral et trop proche d’une grande métropole.
Votre hypothèse pehache ne fonctionne pas, en dépit de quelques chiffres.
> LGV : Demain, la Section Paloise en fédérale !
19 janvier 2010, par Maximo
je ne sais pas si l’hypothèse ne fonctionne pas, mais en tout cas, loin de la démontrer, vous la confortez. "A Bourg, je ne sais pas, mais à Mont de Marsan, on ne pense pas comme vous" Si ! Il dit bien la même chose : en terme d’enclavement, on ne fait pas mieux. Pau-Paris, en comparaison est bien d’une luxueuse aisance. Il me semble que c’est très exactement ce que disent Pehache et quelques autres, dont votre serviteur, depuis... des mois.
Curieusement, vous disiez exactement le contraire plus haut.
Bruno, vous avez une idée fixe dont vous ne sortez pas, même pas pour lire et tenter de comprendre vos interlocuteurs. Vous en venez à vous contredire vous-même.
> LGV : Demain, la Section Paloise en fédérale !
19 janvier 2010, par pehache
Mont de Marsan-Paris est un calvaire au regard duquel Pau-Paris est une luxueuse aisance.
Tout à fait, c’est un calvaire, on est entièrement d’accord ! Et ce calvaire n’a pourtant pas empêché MdM de se développer raisonnablement, alors que dans le même temps Bourg-en-Bresse (*), confortablement reliée à Paris en 2h, déclinait gentiment.
Bien sûr, si on cherche on va sans doute trouver les explications et les bonnes raisons à cela. Mais cela montre au moins une chose incontestable : c’est que les grandes infrastructures de desserte ne sont pas l’alpha et l’omega du développement, et que bien d’autres paramètres entrent en jeu, dont certains sont sans doute beaucoup plus importants. A partir de là il est devient évident qu’avoir la LGV à nos pieds ou à 80km de là est un détail sans importance.
(*) si vous êtes tenté de croire que le cas de Bourg-en-Bresse est une exception dûe à une malédiction quelconque, je vous invite à regarder les exemples d’autres villes qui sont desservies par des LGV depuis 20 ou 30 ans :
Mâcon : baisse de population de 13%
Le Creusot : baisse de 29%
Vendôme : baisse de 5%
Alors ?
> LGV : Demain, la Section Paloise en fédérale !
19 janvier 2010, par Maximo
"Mâcon : baisse de population de 13% Le Creusot : baisse de 29% " Là t’y vas fort dans la comparaison...
> LGV : Demain, la Section Paloise en fédérale !
19 janvier 2010, par Bruno
Le problème est simple ; Mont de Marsan, sans train direct pour Paris, est actuellement enclavée et ne le sera plus demain, grâce à la LGV ; Pau ne l’est pas aujourd’hui, malgré son éloignement, et le deviendra comme la LGV l’évitera.
Certains pensent que la SNCF fera rouler autant de rames TGV vers Pau par les voies classiques qu’empruntent les RER. Je ne le crois pas. Je ne rêve pas ; j’observe que ces jours-ci elle envisage de supprimer des TGV, sur des lignes de l’Est qui vont bien. Demain, sur des voies normales, on prendra le RER, ou les très rares TGV qui parviendront à Pau, qui seront moins nombreux qu’aujourd’hui.
> LGV : Demain, la Section Paloise en fédérale !
19 janvier 2010, par pehache
Mont de Marsan ... est actuellement enclavée et ne le sera plus demain, grâce à la LGV ; Pau ne l’est pas aujourd’hui,... et le deviendra comme la LGV l’évitera.
Diantre ! Je ne savais pas que la construction de la LGV serait accompagnée de la construction d’un mur destiné à isoler Pau.
Certains pensent que la SNCF fera rouler autant de rames TGV vers Pau par les voies classiques qu’empruntent les RER. Je ne le crois pas. Je ne rêve pas
TER, pas RER. Et bien sûr que vous rêvez.
Depuis le tout début, le shéma d’exploitation du TGV repose sur le fait qu’à partir d’une LGV en tronc commun, les TGV peuvent desservir de nombreuses villes hors LGV sans rupture de charge, parce qu’ils peuvent circuler sur les voies classiques. Cela avait été voulu dès la conception du projet, écartant ainsi tous les projets non compatibles avec les voies classiques, et c’est ce qui a fait le succès commercial du TGV. Et de fait, les villes irriguées par des TGV directs sont bien nombreuses que les seules villes qui sont le long des LGV.
Et il n’y a aucune raison que cela change demain, car Paris-Pau direct participera aussi à la rentabilité de l’exploitation de la LGV pour RFF/SNCF.
j’observe que ces jours-ci elle envisage de supprimer des TGV, sur des lignes de l’Est qui vont bien.
Non, pas sur des lignes qui vont bien, justement. Les lignes concernées sont toutes des liaisons province-province, dont la fréquentation ne décolle pas.
Demain, sur des voies normales, on prendra le RER, ou les très rares TGV qui parviendront à Pau, qui seront moins nombreux qu’aujourd’hui.
Strictement rien ne vous permet d’étayer cette croyance, qui va contre toute logique. Ou alors citez moi un seul cas de desserte TGV qui s’est vue réduite après la prolongation de la LGV en amont.
> LGV : Demain, la Section Paloise en fédérale !
19 janvier 2010, par Bruno
Mont de Marsan gagnera avec la LGV, au regard de Pau, un avantage comparatif, qui changera la donne et l’offre de la Sncf au regard d’aujourd’hui.
Mon propos est de dire que dans le rapport de force entre les villes à la fois concurrentes et voisines, dans la compétition régionale, Pau va voir réduire ses avantages et ses capacités, qui lui ont tant profité depuis une soixantaine d’année : elle risque un déclassement, comme la Section paloise vers la Fédérale.
Cela n’importe pas aux commentateurs de ce forum. On peut le concevoir. On y répond sur des arguments accessoires.
On débat de temps et de cadences cuvée 2009, pour évoquer 2020, comme on parlerait en Franc au sujet de finances publiques en 201O.
On voudrait continuer demain comme on va aujourd’hui, comme on allait hier. On voudrait ne pas croire ce qu’on sait.
Cette ville veut dormir et profiter de sa petite rente.
Je ne suis pas optimiste effectivement.
#1 RER et TER relèvent d’un même concept. Chacun voudra bien excuser l’approximation sémantique, qui ne change rien au contenu du propos.
#2 les TGV supprimés par la Sncf seront sur la LGV Est, qui "va bien", à 300 Km/H, contrairement à la voie Dax-Pau-Lourdes-Tarbes.
> LGV : Demain, la Section Paloise en fédérale !
19 janvier 2010, par pehache
Mont de Marsan gagnera avec la LGV, au regard de Pau, un avantage comparatif, qui changera la donne et l’offre de la Sncf au regard d’aujourd’hui.
Bruno, il va falloir vous faire à une triste réalité : Mont de Marsan est géographiquement plus proche de Paris que ne l’est Pau, et à moins de déplacer Pau au nord de la Garonne ça risque d’être le cas pendant longtemps encore.
Si on suit votre raisonnement jusqu’à l’absurde, Bordeaux aurait du il y a 20 ans refuser la LGV Paris-Tours, qui donnait un avantage comparatif important à Tours. Dax devrait aujourd’hui refuser la LGV Tours-Bordeaux, qui va donner un avantage comparatif important à Bordeaux. Pau doit refuser la LGV Bordeaux-Dax, qui va donner un avantage comparatif à Dax. Et demain Tarbes devrait refuser une hypothétique LGV Dax-Pau, qui donnerait un avantage comparatif à Pau.
En fait pour personne n’ait d’avantage comparatif, il faudrait éviter de construire des LGV, ça simplifierait tout.
Mon propos est de dire que dans le rapport de force entre les villes à la fois concurrentes et voisines, dans la compétition régionale, Pau va voir réduire ses avantages et ses capacités, qui lui ont tant profité depuis une soixantaine d’année : elle risque un déclassement, comme la Section paloise vers la Fédérale.
Mais c’est quoi cette maladie d’avoir les yeux rivés sur les voisins ?? On dirait mes filles à table, qui passent leur temps à se chamailler : "Elle a au un plus gros morceau que moi !"...
Commençons par gérer intelligemment notre coin : il y a suffisamment de bonnes ou de mauvaises décisions à prendre pour l’avenir pour ne pas se prendre execessivement le choux sur des décisions sur lesquelles on n’a que très peu de pouvoir. Notre avenir dépend de nous, avant de dépendre des autres.
Et vous avez peur de la "concurrence" de villes comme Dax ou Mont de Marsan, qui sont 3 fois plus petites que Pau ??
> LGV : Demain, la Section Paloise en fédérale !
19 janvier 2010, par AK Pô
Commençons par gérer intelligemment notre coin (Pehache)
Quand je pense qu’on a ici la ligne (verte) Paris-Madrid, et que Madrid n’est qu’à 600 kilomètres quand Paris est à 800, pourquoi ne pas se désenclaver peinardement au soleil du Sud, avec un barreau sur Lisbonne... 
> LGV : Demain, la Section Paloise en fédérale !
19 janvier 2010, par Bruno
Pehache,
Bordeaux, il y a vingt ans n’a pas payé de LGV ; L’Etat faisait son travail, dont il confie aujourd’hui le financement aux collectivités locales.
Le rapport de force entre territoires existe et s’exprime en potentiel d’attractivité, en dynamisme économique, en valeur immobilière.
Vos filles comprendront avant vous.
Mon propos premier était effectivement de ne pas payer au prix de Mont de Marsan, Bayonne, Bordeaux, une LGV qui ne traversera pas le Béarn.
Je n’imaginais pas, disant cela, être hérétique et stupide comme il faut croire à lire ces commentaires.
Vous parlez de "gérer intelligement notre coin", comme on cultive son jardin.
J’évoque ici une LGV, auparavant l’A65 dans d’autres violents billets, des infrastructures qui relient à l’extérieur. Je ne me préoccupe pas d’emplacement de piscine ou de déménagement des Halles.
> LGV : Demain, la Section Paloise en fédérale !
19 janvier 2010, par pehache
Si la LGV Paris-Tours se faisait aujourd’hui, Bordeaux paierait bien évidemment. L’état se défausse aujourd’hui partiellement sur les collectivités locales pour financer les LGV : est-ce un bien, est-ce un mal ? Ca se discute... Au début cela me choquait. Mais à la réflexion, cela peut se défendre : si l’état paie tout, cela veut dire qu’un auvergnat participe autant qu’un bordelais à la LGV Tours-Bordeaux par exemple, alors qu’il n’en tirera aucun bénéfice. Après tout il n’est pas scandaleux que les régions ou villes qui veulent bénéficier de LGV et de dessertes TGV s’impliquent dans les financements.
Si une LGV Bordeaux-Dax se fait, Pau en bénéficiera aussi, en gagnant du temps sur le trajet Pau-Bordeaux-Paris. A partir de là il est normal que Pau participe au financement : sans doute pas à la même hauteur que Dax (par habitant), mais une participation quand même. Car si un jour on demande une LGV Dax-Pau (ou MdM Pau), on demandera bien à Tarbes d’y participer, n’est-ce pas ? Il faut alors être cohérent.
Je ne me préoccupe pas d’emplacement de piscine ou de déménagement des Halles.
Je vois... Vous ne vous abaissez pas aux détails, seules les très grandes choses retiennent votre attention. Ca me rappelle la blague (de mémoire) :
Un mari dit à sa femme : "Chérie, on va mieux se répartir les tâches dans notre couple, afin que j’en prenne mieux ma part. Dorénavant je m’occuperai de tous les grands problèmes compliqués à résoudre : la politique, la faim dans le monde, l’économie, la pollution... Tu auras donc tout le temps de t’occuper des affaires courantes : les courses, les couches, l’école, les visites chez le pédiatre, les papiers, le ménage...
> LGV : Demain, la Section Paloise en fédérale !
20 janvier 2010, par Bruno
Pour clore s’il était possible le débat, notamment avec Pehache sur l’attractivité montoise, Sud Ouest indique les progressions démographiques des villes aquitaintes entre 1999 et 2007 : Mont de Marsan +2,9 % ; Pau +7,6 %, tandis que les tendances départementales sont inverses, Landes +1,4 % ; P.A. + 0,6.
Il n’aura échapper à personne que Pau, comme l’ouest des Landes ont en commun, entre autres avantages et contrairement à Mont de Marsan le bénéfice du train. direct / rapide, (TGV, peu de LGV).
Chacun dés lors pourra comprendre que Pau perdra au regard des autres territoires aquitains cet avantage : nous auront moins de TGV et moins de LGV que tous les autres, hormis la Dordogne qui vieillit et se dévellope peu.
Tout le Béarn en souffrira, cependant que nous aurons gagné en vitesse pour rejoindre Paris, car moins que nos voisins et rivaux territoriaux.
Si vous suivez ce raisonnement, qui ne me semble ni absurde, ni complexe, vous comprendrez la conclusion de mon billet, qui évoquait le destin de Sarlat, de Cahors et d’Oloron et le chemin de la Section vers les divisions fédérales de la FFR.
PS : la violence récurente de quelques uns sur ce forum, l’intransigeance, l’intolérance, l’argumentaire acerbe et polémique, parfois aussi totalitaire à l’égard de ceux qui ne partagent pas la doxa de ceux qui contribuent habituellement dissuadent d’y participer.
Om m’a traité ici de Troll, (A65), de fumeur de joint, (OdB), de délirant dépressif, (LGV), et je dois en oublier beaucoup d’autres.
Mes propos sont précis, parfois tranchants, vifs quelques fois ; ils ne sont jamais haineux.
Il faut le talent de Céline pour s’autoriser à écrire un tel sentiment.
Je souhaitais confier ici ces impressions. A bientôt Pechache.
PS 2 : je suis d’accord avec votre blague néanmoins pour la division sexuelle du travail, (oups... j’espère qu’il n’y a pas de femmes qui lisent, où je vais encore prendre cher...).
> LGV : Demain, la Section Paloise en fédérale !
20 janvier 2010, par pehache
Votre raisonnement revient à se lamenter d’avoir eu une augmentation de salaire de 5%, même si le reste de l’entreprise n’a eu que 1%, sous prétexte que votre voisin de bureau a eu 8% 
Certains en bénéficieront plus que d’autres sans doute, mais c’est bien tout le sud-aquitain qui bénéficiera de la LGV Bdx-Dax.
Mes propos sont précis,...
Si vous le dites... Personnellement je vois beaucoup plus de fantaisie que de précision dans la prédiction de "moins de TGV à Pau demain par rapport à aujourd’hui", pour ne prendre qu’un exemple. Si vous lancez des affirmations à l’emporte-pièce, ne vous étonnez pas des débats houleux 
> LGV : Demain, la Section Paloise en fédérale !
20 janvier 2010, par Bruno
Le reste des territoires en France a eu l’augmentation de salaire bien avant le sud Aquitain, bon dernier dans la distribution des LGV. Vos 5% sont une misère, et un bénéfice tardif.
Et Mont de Marsan, je ne suis pas cru mais vous l’assure, attent bien plus que les 8% que vous envisagez, de la LGV, comme aussi de l’A65, a contrario de Pau qui, vous en êtes la preuve, semble s’en foutre.
J’étais fantaisiste aussi lorsque j’évoquais A65 qui se construit comme chacun peut le constater.
Vous croyez immuable le montant des pensions, la fréquence des trains, celle des vols aériens, la croissance, les équilibres politiques, la valeur de l’Euro peut être. Vous êtes sûr que six trains TGV au moins continueront à gagner Paris toujours au départ de Pau.
Vous prétendez aussi à la précision sans référence.
Vous ignorez que des lignes sont supprimées, que des gares ferment, que la concentration des populations et de l’activité croit.
Mais vous semblez et prétendez savoir.
> LGV : Demain, la Section Paloise en fédérale !
21 janvier 2010, par Marc
Cher Bruno, sur les 100 derniers messages publiés sur ce site, un message sur quatre a été posté par PH. Personne ne peut faire le poids face à une telle force de frappe ...
> LGV : Demain, la Section Paloise en fédérale !
21 janvier 2010, par pehache
Mon cher Marc, vous auriez pu ajouter que Bruno en avait posté pratiquement autant que moi (un sur cinq), et qu’en plus il avait bénéficié d’un message à la "une" : question force de frappe il fait donc jeu égal.
> LGV : Demain, la Section Paloise en fédérale !
22 janvier 2010, par le coq
stats tam-tam
Marc +Bruno+PH = 65% de présence.... il manque les Réveuses et les Cléopatres. Ce qui parité respectée nous amène à 130% de présence. Une telle moisson laisse peu de place au regain pour la ville de Pau... Et dire qu’il manque les meilleurs fouteurs de merde ! Les statistiques ne sont jamais justes.
> LGV : Demain, la Section Paloise en fédérale !
21 janvier 2010, par pehache
Le reste des territoires en France a eu l’augmentation de salaire bien avant le sud Aquitain, bon dernier dans la distribution des LGV
Arrêtez de raconter n’importe quoi, Bruno. Regardez plutôt une carte actuelle des LGV en France et vous verrez qu’une grosse moitié du territoire français est loin de toute LGV :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_lignes_%C3%A0_grande_vitesse_en_France
Vous êtes sûr que six trains TGV au moins continueront à gagner Paris toujours au départ de Pau. Vous prétendez aussi à la précision sans référence.
Pour régler ce point précis c’est très simple, je vous l’ai déjà dit : citez-moi un seul cas où les dessertes par TGV ont été réduites suite au prolongement d’une LGV en amont. Vous n’en trouverez pas, et pour cause ça n’est jamais arrivé. Votre prédiction pour Pau repose donc sur une seule chose : du vent.
> LGV : Demain, la Section Paloise en fédérale !
21 janvier 2010, par le coq
le coq et la répartition des tâches dans le ménage
Une idée pour la répartition des tâches dans un ménage :
les enfants sont responsables de ce qui est compris entre vingt et quarante centimètres = rangement en général des jouets et chaussures
les femmes ce qui est compris entre sol et un mètre de hauteur = tout ce qui relève du ménager
les hommes ce qui est au-dessus de un mètre du sol = éventuellement mettre la table et exclusivement changer lea ampoules électriques....et lever les mains quand ça ne va pas.
> LGV : Demain, la Section Paloise en fédérale !
21 janvier 2010, par Bruno
Le vent souffle et porte loin, au moins.
Je prendrai ce mot de Pehache comme un compliment, pour une fois.
Je constate aussi, vu votre hargne tenace et omnisciente, que mes propos vous sont insupportables. Et cela me rassure.
Vous ne répondez à aucun argument construit et cela conforte les miens. Je vous remercie.
Je ne suis pas en mesure de connaître l’ensemble de l’historique des lignes de la Sncf.
Mais, modestement, je connais la France et l’Histoire, notre ville. La tendance lourde est à la réduction des lignes, à la concentration des populations et des activités. La compétition des territoires se poursuit partout et dans ce rapport de force, je le redis, je suis inquiet pour l’avenir de Pau. Et malheureusement, la contestation à la moindre ligne écrite que je rencontre ici n’est pas de nature à diminuer ce sentiment ; je le déplore.
J’estime ne pas être moins légitime à émettre un avis ou une opinion que quiquonque contribue dans ce forum, qui n’a pas vocation à être un espace totalitaire.
Mais comme le fer est engagé cependant, merci Pehache de bien vouloir en retour m’indiquer les modifications des correspondances en gare du Creusot et de Maçon après ouverture de la LGV vers Lyon, afin de corréler ces données avec celles de l’évolution démographique de ces villes. Je m’autorise à vous interroger, vous savez tout et de tels éléments de surcroît me semblent indispensables dans les débats qui nous animent.
Une réponse sans délai m’obligerait.
> LGV : Demain, la Section Paloise en fédérale !
22 janvier 2010, par pehache
Vous ne répondez à aucun argument construit
Je ne fais que vous répondre, au point que Marc a relévé que j’embouteillais le forum. Mais vous n’entendez rien.
Je ne suis pas en mesure de connaître l’ensemble de l’historique des lignes de la Sncf.
Je note donc que vous n’êtes pas en mesure d’apporter le moindre élément concret qui soutiendrait votre thèse.
La tendance lourde est à la réduction des lignes,
Des lignes classiques c’est un fait. Des dessertes TGV non. Vous croyez que RFF/SNCF construisent des LGV pour ensuite supprimer des TGV ? RFF a tout intérêt à voir le plus de TGV possible emprunter ses voies, et la SNCF aura toujours intérêt à collecter le flux béarnais pour améliorer la rentabilité générale des liaisons au sud de Bordeaux. Pau-Lourdes-Tarbes c’est 250.000 habitants, et c’est plus que suffisant pour continuer à intéresser la SNCF.
Mais comme le fer est engagé cependant, merci Pehache de bien vouloir en retour m’indiquer les modifications des correspondances en gare du Creusot et de Maçon après ouverture de la LGV vers Lyon,
Je vous enjoins à consulter le site de la SNCF pour connaître les fréquences et horaires de dessertes de ces deux villes par le TGV.
> LGV : Demain, la Section Paloise en fédérale !
22 janvier 2010, par Bruno
1/Vous répondez généralement à côté de l’objet de mes propos, qui étaient premièrement le rejet basque de la ligne, la position du CG40, l’hypothèse d’une TCP par le Béarn, les contributions et les retours sur investissement comparés des territoires sud aquitain, l’échec des politiques locaux, CCI comprise, dans leur tentative de pousser un barreau béarnais, accessoirement l’avenir de la SP.
Je ne suis pas, pas plus que vous, obligé de croire et me soumettre à tout ce que j’entends, ou tous ceux que je lis.
2/je ne dispose, pas plus que vous, de l’historique des lignes SNCF relativement aux fréquences et aux horaires, évidemment.
Mais vous, vous parlez d’autres choses lorsqu’on vous expose des faits ou des chiffres,
notamment à propos de Mont de Marsan, que vous semblez ne pas connaître, mais sur laquelle vous êtes, tel un vieux prof acariatre, péremptoire par habitude, comme toujours et comme l’indique votre absolu volonté d’avoir le dernier mot devant la classe qui doit in fine opiner, même si elle n’en pense pas moins. Il s’agit ici d’un forum.
3/Votre seul propos, on l’a bien compris, est votre pari, votre hystérique croyance, que la SNCF ne réduira pas en qualité et quantité son offre vers Pau. Accordez moi seulement sur ce point le droit d’être septique et moins optimiste que vous êtes. L’architecture du réseau national n’est pas immuable, particulièrement dans l’hypothèse du bouleversement que constituera l’arrivée de la (vrai) grande vitesse avec les courbes qui vont bien et une exclusivité, (pas de marchandise, ni de TER fréquents et cadencés, qui compliquent la circulation des TGV et reduisent leur rentabilité). L’ouverture du marché à d’autres opérateurs ferroviaires aussi le bouleversera, sans plus aucune considération d’aménagement du territoire ou de service public.
250.000, à l’échelle nationale, c’est fort peu. La Dordogne et sa population ne disposent pas de connexion TGV.
4/ Vous ne répondez pas à la question posée, qui portait sur les modifications de l’offre survenues dans ces gares lors de l’arrivée de la LGV vers Lyon, qui ne sont certainement pas sur le sîte de la SNCF, (internet n’existait pas).
Mais votre ignorance à ce propos, comme d’autres, disqualifie de facto vos arguments concernant ces villes.
Il conviendrait enfin, Pehage, dans l’intérêt de ces échanges, à ce propos comme pour les autres habituellement, que vous puissiez parvenir à élargir les problématiques au délà de votre petit bénéfice personnel. Oui, je vous l’accorde, avec le tracé retenu actuellement, pour les quelques voyages que vous faites vers Paris, vous y gagnerez certes un peu, mais là n’était pas la question. J’évoquais les enjeux de territoires, pas ma situation individuelle. Moi on s’en fout.
Bonsoir.
> LGV : Demain, la Section Paloise en fédérale !
22 janvier 2010, par pehache
Réponses dans l’ordre :
1) l’échec des décideurs locaux (CCI et élus) à obtenir un barreau béarnais était acquis d’avance aux yeux de quiconque avait un peu de réalisme. Leur cirque (aux décideurs) n’avait pour but que d’amuser la galerie du bon peuple (enfin j’espère, parce que si ils y croyaient vraiment à leur truc, c’est encore pire).
2) blablabla, et je redis donc que vous n’êtes en mesure d’apporter aucun élément concret pour soutenir votre thèse catastrophiste.
3) Mon "hystérique croyance" est basée sur l’historique du déploiement des LGV et du TGV depuis 30 ans. Votre "délire dépressif", comme je l’ai appelé, n’est basé que sur votre intime conviction, car ce que vous prédisez n’est jamais arrivé ailleurs par le passé.
A chacun de se faire son idée à partir de là.
Le passage suivant m’amuse particulièrement : "...l’hypothèse du bouleversement que constituera l’arrivée de la (vrai) grande vitesse avec les courbes qui vont bien et une exclusivité (...)". En quoi ce bouleversement sera-t’il différent de celui induit par les LGV contruites depuis 30 ans, pouvez-vous l’expliquer ?
Enfin, la Dordogne n’est en rien comparable au Béarn. Sa population est nettement plus dispersé et sa plus grande agglomération est deux fois plus petite que Pau, et comparable à Tarbes : il n’y aurait que Tarbes à desservir qu’il n’y aurait probablement pas de désserte TGV vers le Béarn/Bigorre non plus.
4) Arrêtez votre char : il y a 8 TGV directs Paris-Mâcon par jour, en 1h30. Je mets ma main à couper que c’est une amélioration considérable par rapport à ce qui existait avant la LGV (en fréquences peut-être pas, mais en temps de parcours c’est évident). Je n’ai pas envie de perdre du temps à chercher les renseignements précis, mais si vous continuez à contester l’évidence je le ferai, et me ferai un plaisir de vous mettre le nez dans vos erreurs.
J’évoquais les enjeux de territoires, pas ma situation individuelle.
Oui oui je sais, encore une fois seules les grandes idées retiennent votre attention. Vraiment, vous devriez faire de la politique, et vous auriez été parfait aux côté de de Stampa, MLC, et Cie, pour réclamer la LGV Béarn 
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