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Votre commentaire
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> La cigale et la fourmi |
16 mai 2011, par pehache
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Ces interprétations [de de La Fontaine] n’ont rien à voir avec les impératifs des comportements biologiques,...
Les vôtres n’ont pas grand-chose à voir avec non plus...
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> La cigale et la fourmi
16 mai 2011, par Georges Vallet
Merci infiniment, pehache, pour votre contribution constructive, elle complète utilement la carence de mes propos. Etant donné votre compétence dans le domaine des comportements biologiques, j’y suis très sensible.
Au cas où vous n’auriez pas tout compris, mes objectifs n’étaient pas d’analyser les impératifs des comportements biologiques de la cigale et de la fourmi ; il est donc normal que mes propos n’aient pas grand chose à voir avec.
Le titre , qui n’a pas été repris, était "la cigale et la fourmi ou les difficultés des relations entre l’individuel et le collectif, sujet qui m’apparaissait d’actualité.
> La cigale et la fourmi
16 mai 2011, par pehache
Ca, j’avoue bien volontier que je n’ai pas compris où voulait en venir votre article, qui sautille entre la biologie, la sociologie, la politique, l’économie, et la mythologie, à base d’analogies sauvages que même La Fontaine aurait hésité à faire.
> La cigale et la fourmi
17 mai 2011, par Georges Vallet
Si La Fontaine avait eu conscience de la complexité, je suis certain qu’il n’aurait pas hésité.
> La cigale et la fourmi
17 mai 2011, par pehache
Aller chercher chez les fourmis ou chez les cigales des justifications au collectivisme ou à l’individualisme chez les humains n’a pas beaucoup de sens.
Après ça on pourrait aller chercher chez les oies la justification de la fidélité à vie, ou chez les lapins la justification du dskisme.
> La cigale et la fourmi
17 mai 2011, par claudiqus
Houla, Pehache ! ça penche un peu vers Ici Paris, là ...
> La cigale et la fourmi
18 mai 2011, par Georges Vallet
pehache
Aller chercher chez les fourmis ou chez les cigales des justifications au collectivisme ou à l’individualisme chez les humains n’a pas beaucoup de sens"
Justifications, bien sûr que non, ce n’est pas parce que les fourmis sont collectivistes et les cigales individualistes que les hommes le sont !
Par contre, cela a du sens de comparer ces deux façons d’être, aussi bien dans l’univers et dans le monde vivant, de la cellule à la mondialisation, pour, peut-être, en tirer des réflexions et des conséquences sur notre gestion de la vie humaine qui, elle, actuellement imposée, est sociale donc collective.
L’unique objet de mes préoccupations dans ce texte, je le répète, était d’ouvrir une discussion sur les relations conflictuelles qui ont toujours existé, entre l’individuel et le collectif ; c’est l’objet de fond des oppositions entre le darwinisme et le darwinisme social, entre les philosophies de la gauche et de la droite. Immense débat pluridisciplinaire par excellence qu’il n’est pas indifférent d’aborder, de réguler sans doute, quand on voit le développement "démentiel" de l’individualisme actuellement.
Quand au DSKisme, permettez-moi de ne pas rentrer dans le débat !
Quoiqu’il ne soit pas étranger à cet individualisme ci-dessus mentionné !
> La cigale et la fourmi
19 mai 2011, par claudiqus
L’individualité est essentielle à l’épanouissement, le collectif est essentiel à la société ... mais ça n’a rien à voir avec la gauche ou la droite ! je préfère un individualiste humaniste à un collectiviste fonctionnalisé ..
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> La cigale et la fourmi |
16 mai 2011, par claudiqus
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En somme, cher GV, si l’Homme ne s’était inspiré de la nature, il n’eût inventé grand chose !
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> La cigale et la fourmi |
16 mai 2011, par Alphonse
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Merci à Georges Vallet, et au rétablissement de la vérité sur les cigales et les fourmis.
Même si, à la lecture de son texte, j’ai dû courrir au "dico" pour savoir ce que voulait dire "anthropique", et tenter de suivre les savants développements de ce Monsieur !
Ma conclusion, c’est qu’un naturaliste en général, et Mr Vallet en particulier, ne doivent pas s’ennuyer dans la nature quand ils s’y trouvent seuls. Jean de La Fontaine, sans doute aussi, ne s’y ennuyait pas non plus lorsqu’il y composait ses fables. Quant à moi, lorsque je suis seul dans la campagne, j’y appelle et me récite volontiers les fables du bon La Fontaine ! Et je remercie mes maîtres de la III ème République de me les avoir apprises. Tant pis si notre fabuliste national a ré-écrit l’Histoire des cigales et des fourmis sans le souci de respecter leur véritable identité.
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