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Votre commentaire
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> Trois morts, un blessé grave. |
13 mars 2012, par Jean Paul Penot
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Lorsque l’on parle d’insécurité en France, on devrait d’abord commencer par penser à l’insécurité routière. Hélas, tout le monde n’en est pas encore persuadé.
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> Trois morts, un blessé grave.
14 mars 2012, par claudiqus
Tout le monde ... à commencer par le gouvernement, qui a sabré son budget d’entretien du réseau routier !
De 500 M. d’euro, il a pratiquement été diminué de moitié, pour investir toujours plus dans la mise en place de nouveaux radars, manne financière incontestable, mais dont l’éclosion n’a jamais fait reculer la mortalité routière, d’après les statistiques clairement établies, mais très peu divulguées, on comprend aisément pourquoi .
Nous sommes passés depuis 2003 à un régime de répression sordide et juteux (pour l’Etat et les sociétés privées qui touchent leur dividende), au détriment d’une prévention, qui inclut la remise en état permanente des nationales et départementales du territoire !
> Trois morts, un blessé grave.
14 mars 2012, par peyo
"le gouvernement, qui a sabré son budget d’entretien du réseau routier "
Claudiqus n’a pas "actualisé" sa base de méconnaissance : il y a des années que la majorité des routes nationales sont passées sous la responsabilité des conseils généraux. C’est à eux qu’il doit se plaindre si les travaux tardent.
> Trois morts, un blessé grave.
14 mars 2012, par claudiqus
merci Peyo ! ma méconnaissance n’ignorait pas le fait du déchargement progressif de l’Etat sur les conseils généraux ...
Quant à geindre misérablement, si la dénonciation d’une situation dégradée, une de plus me direz-vous, puisse être assimilée à une plainte, soit ...
> Trois morts, un blessé grave.
14 mars 2012, par Daniel Sango
Oui, sans doute, on doit toujours faire mieux.
Mais que dire des 60 000 morts par an liés au tabac ????
> Trois morts, un blessé grave.
14 mars 2012, par Maximo
tabac ou routes, c’est toujours une affaire de goudrons
> Trois morts, un blessé grave.
14 mars 2012, par claudiqus
Et pour nous indigner, il ne nous reste que la plume ...
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