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> Crise en France : L’exemple Argentin |
9 avril 2012, par peyo
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Le long papier de Pedaugez , ça paraît une totale ineptie.
Pedaugez, expert en explication des relations de cause à effet, se répand largement sur les forums. Et toujours son propos montre un fidèle lieutenant de J. Cheminade avec des raccourcis fulgurants
"La mondialisation économique et financière a jeté une partie de la planète dans la misère. La Dette, dont elle est issue, n’est que la conséquence naturelle de notre système bancaire, et pas du tout un excès de dépenses de la société." (P Pedaugez, extrait de "changement de cap" paru le 19 décembre 2011)
En somme (si on le suit) un complot, où de bons gestionnaires -qui jusque là équilibraient scrupuleusement leurs budgets sans rien demander à personne- ont été contraints à accepter de force les prêts mortifères concoctés par une mafia internationale de financiers sans foi ni loi... Quel délire !
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> Crise en France : L’exemple Argentin |
9 avril 2012, par Rêveur des villes
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et l’exemple... de la Suède !
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2012/04/06/20002-20120406ARTFIG00614-les-severes-lecons-de-la-suede-a-la-zone-euro.php
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> Crise en France : L’exemple Argentin
9 avril 2012, par Contribuable Palois
"le diktat de l’oligarchie financière mondiale" .
Mais non, M Pedaugez, sortez de ce genre de pncif. C’est l’excuse de ceux qui veulent que ce soit toujours la faute des autres.
Alors que souvent il suffirait d’avoir une gestion de bon père de famille ! Qu’on soit simple particulier ou Etat gérant le quotidien, on n’est pas maître de ses choix une fois qu’on s’est mis dans la main des créanciers.
C’est à dire :
ne pas faire des dépenses courante au delà de ses capacités financières,
emprunter pour des investissements durables économiquement justifiés,
ne pas régaler sa petite amie/payer des vacances paradisiaques/construire une nième mediathèque grâce à un emprunt dontles intérêts sont gagés sur la parité roupie-drachme
gérer ses économies avec prudence, les placements dits "financiers" n’étant pas faits pour les petites bourses
se méfier des leaders/faiseurs de miracle/donneurs de recettes "pour la semaine de 25 heures et la retraite à 39 ans" qui ne se sont jamais levés à 5 heures du matin pour aller au boulot et qui ont pour grandes( ?) références d’avoir passé des années dans des appareils politiques , tout en étant prudemment eux-mêmes "en détachement de la fonction publique". Ils toucheront une retraite garantie et indexée, eux ; ceux qui les ont suivi en seront à pleurer la revalorisation du minimum vieillesse
se rappeler que tout ce qui est gratuit a toujours un coût quelque part.
> Crise en France : L’exemple Argentin
9 avril 2012, par Maximo
+ 1 contribuable. Présenter ainsi cette "oligarchie financière mondiale" comme si elle était organisée en mafia. Elle n’existe pas !!
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