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> La Politique Culturelle d’Yves Urieta |
6 avril 2007, par Bastien64
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Malgrè des demandes nombreuses à ce qui se dit, le site de www.pau.fr n’a pas encore publié le dossier Médiathèque/Halles présenté par le maire (courant mars) à des parents d’élèves et (lundi 2 avril) à certains riverains de Henri IV. Dommage que ce soit si difficile d’avoir une information quand il s’agit de la culture et de l’urbanisme tels que les propose notre édile. Sans doute qu’il réserve ses propos à ceux qui intelectuellement sont capables de le comprendre.
Par contre et sans aucun délai (le palois moyen doit avoir le QI minimum pour comprendre les problèmes liés aux déjections canines) Monsieur le Maire a le plaisir de nous présenter sur son site
http://www.pau.fr/la_vie/environnement/20070405_174127
les moto-crottes qui seront prochainement en service... mais la photo d’illustration nous laisse sur notre "faim", tandis que celle du quotidien SudOuest du 6 mars montre M Urieta paradant fièrement au guidon de l’engin.
http://www.sudouest.com/060407/vil_bea_pau.asp ?Article=060407aP316180.xml
Sans y voir malice, exposer ses idées sur la culture et le développement de l’urbanisme est-il plus difficile (ou y risque-t-on davantage les éclaboussures) qu’à gérer la m... des toutous ? Pourquoi l’un empêche-t-il l’autre ? Encore une spécificité de l’après-Labarrère. Il faudra qu’on nous explique.
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> La Politique Culturelle de François Mitterrand |
5 avril 2007, par Simon Alblanquère
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Silence absolu sur le plateau Par Bernard Pivot
Ce n’était que la cinquième émission d’Apostrophes. À l’occasion de la sortie de La Paille et le grain, j’avais convié François Mitterrand pour qu’il parle de son livre et de ses écrivains favoris. Il inaugurait une série intitulée « Une personnalité et ses lectures », car je considère qu’une personne renommée, populaire, capable d’évoquer avec intelligence et passion les livres qui ont marqué sa sensibilité, capable aussi d’expliquer le plaisir qu’elle prend à la littérature, encourage les jeunes téléspectateurs à lire. N’est-ce pas là le rôle d’une émission littéraire et du service public ?
Si j’avais eu le moindre doute sur le bien-fondé et l’efficacité de cette stratégie, François Mitterrand l’aurait balayé. Car, de bout en bout, pendant soixante-quinze minutes, en direct, le 7 février 1975, il fut étincelant.
Par la suite, aucun autre invité prestigieux ne réussit à commenter avec autant de brio les oeuvres choisies, leur style, leur singularité, leur postérité. Bien des gens ont affirmé que si cette émission avait eu lieu avant l’élection présidentielle de mai 1974, les deux cent ou trois cent mille voix qui séparaient François Mitterrand de Valéry Giscard d’Estaing eussent été comblées. Peut-être. Ce qui est certain, c’est que les nuits et les jours qui suivirent, je reçus des appels téléphoniques injurieux et des lettres anonymes outrageantes, preuve que l’excellence de la prestation de François Mitterrand en avait irrité plus d’un.
Pour préparer Apostrophes, je n’ai pas rencontré celui qui était alors le premier secrétaire du Parti socialiste. Mais nous avions échangé des coups de fil. Pour le choix des autres invités : Camille Bourniquel, Max Gallo, Jacques Brenner (spécialiste de Jacques Chardonne), Maurice Chapelan (grammairien). Pour aussi convenir des écrivains qu’il avait l’intention de mettre en valeur.
Je m’étais fait une liste littéraire « de gauche » : Hugo, Camus, Sartre, Blum, Gide, Prévert, Jaurès, Zola, Rolland, Vallès, Guilloux, etc. Tous recalés ! J’avais tout faux. Il leur préféra des écrivains qui étaient réellement et intimement les siens, qui étaient de sa famille littéraire, dont il appréciait la pensée et surtout le style, mais qu’on pouvait pour la plupart ranger sur l’autre rive politique que la sienne. Pour les plus longuement célébrés : Lamartine, Jules Renard, Saint-John Perse, Jacques Chardonne et Dino Buzzati. François Mitterrand montra sa connaissance parfaite et personnelle de chacun. Il était évident qu’il pratiquait ces écrivains-là depuis longtemps, que son commerce avec leur œuvre était permanent et sans cesse approfondi. C’est à travers Dino Buzzati qu’il fut le plus éblouissant. Pendant les dix dernières minutes de l’émission, il raconta et commenta Le Désert des Tartares. Silence absolu sur le plateau. La même attention palpable, impressionnante, lorsque, vingt ans plus tard, en avril 1995, dans un émouvant tête-à-tête à Bouillon de culture (il était très malade, il souffrait beaucoup, ce fut sa dernière grande émission de télévision), il évoqua dans les cinq dernières minutes les paysages charentais de son enfance. Je regrettai une nouvelle fois que le politique eût dévoré l’écrivain.
En homme cultivé François Mitterrand initia dès 1981 une politique culturelle audacieuse au service de tous les arts et de tous les publics. Au service de la liberté aussi. Espérons que Yves Urieta, Bernard Pedeboscq et Michel Sainte-Cluque seront à la hauteur.
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> La Politique Culturelle d’Yves Urieta |
5 avril 2007, par jerlau
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Dans l’absolu il n’a pas tort le Maire. Il faut trouver quelque chose qui amène du monde.
Jusqu’à présent à Pau il y a eu principalement des évènements qui n’avaient pas grand chose à voir avec l’histoire de Pau. Pourquoi ne pas chercher dans cette voie ? Quelques pistes ?
Henri IV (il doit y avoir un paquet de trouvailles autour de l’artiste)
l’aviation (difficilement)
la piccata ( la Monnaie locale, le Congrés de la BCE sur l’axe Pau Saragosse, à pied ! )
Les WE d’Henri IV avec chasse à courre de on ne sait quoi ?
Il y a plein d’idées.
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> La Politique Culturelle d’Yves Urieta
6 avril 2007
C’est déjà carnaval toute l’année que voulez vous de plus ?
> La Politique Culturelle d’Yves Urieta
16 mai 2008, par baltanshaltanoulbiani.
point de vue !!
Vous aviez en 2006, le plus belle évènement qu’il soit, solidaire et humain, certes, probablement mal gérée, quoique j’aimerais bien savoir ce qu’il en est d’ailleurs d’un point de vue juridique de cette histoire et qui a réellement tiré les ficelles du sac d’embrouille "Fipau" et si M Uriéta avait laissé faire et réglé la seconde partie de la subvention sans s’opposer à quoi que ce soit, que vos élus aurait fait leurs réels travail de contrôle/évaluation et de régulation financière du projet, comme prévu et que les assurances couvrant les dommages liés aux intempéries avait fait le nécessaire pour garantir le succès à long terme de ce projet et assurer le paiement de ces prestataires, vous ne seriez certainement pas à vous poser la question de savoir quels politique culturelle ? puisque vous disposeriez d’un succès à dimension internationale dans lequel, vous auriez un support sans limite de projets, à portée de toutes les générations, de toutes les traditions, avec une image de marque, dans l’air du temps et un développement possible du projet vers une voie bien plus large qu’une simple manifestation estivale, ha !! au faite, c’est Albert Jacquard qui a dit, que nous pouvons nous construire et nous enrichir qu’à la rencontre de l’autre, d’autres part le village de Carrez en Bretagne dispose d’un festival ou de petites idées sont devenus grande sans pour cela déchirer les passions.
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> La Politique Culturelle d’Yves Urieta |
1 avril 2007, par pehache
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Pour y remédier, il est notamment question d’organiser un « événement d’ampleur internationale »
Aïe aïe aïe !!!
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FIPau, le retour... ?
2 avril 2007, par René
"événement d’ampleur internationale "
Le pire est à craindre.
Un maître pas dingo serait il de retour ?
> La Politique Culturelle d’Yves Urieta
4 avril 2007, par Françoise
vont pas remet’ça !!!!!! O secours
> La Politique Culturelle d’Yves Urieta
16 mai 2008, par karabistouille
Pourquoi au secours t’as peur de quoi ?
sinon de toi même.
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> La Politique Culturelle d’Yves Urieta |
1 avril 2007, par Saint-Just
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Ben vous voyez, il organise une réunion pour tout expliquer.
Tiens, je me demande s’il l’aurait fait si une belle banderole n’était pas accrochée aux fenêtres de l’école Henri IV ? 
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> La Politique Culturelle d’Yves Urieta
4 avril 2007, par Thibault Chenevière
Il est clair que M. le Maire s’active pour essayer de marquer les esprits avant l’échéance de 2008. Je pense que les Palois méritent mieux que cette course à l’échalote qui laisse clairement la démocratie locale sur la touche. Là encore, ce n’est pas l’idée que nous nous faisons de la manière de conduire notre ville.
Thibault Chenevière
PAU A TOUT COEUR
> La Politique Culturelle d’Yves Urieta
13 octobre 2007
"Pauvre" thibault chenevière, je ne pense pas que Monsieur Yves URIETA, essaie de marquer les esprits avant Mars 2008. Il est triste de votre part de comparer le travail fait par Monsieur le Maire, (lourde tâche, à un successeur lourd qu’était André LABARRERE) à une course à l’échalote, afin de continuer le gros chantier de la ville de Pau, les lourds dossiers tel que le Casino Municiapal et toutes les autres affaires qui a été l’héritage d’Yves URIETA, lors de son éléction. Je sais que celui-ci sera un maire parfait pour notre ville, pleins d’initiatives et d’attention envers les palois. Les enfants (comme les adultes d’ailleurs), attendent avec impatience l’arrivée des fêtes de fin d’année, pour pouvoir aller patiner place Royale. Monsieur Labarrère a-t-il eu ce genre de pensée pour animer notre ville ? A bon entendeur.
> La Politique Culturelle d’Yves Urieta
13 octobre 2007
"Pauvre" thibault chenevière, je ne pense pas que Monsieur Yves URIETA, essaie de marquer les esprits avant Mars 2008. Il est triste de votre part de comparer le travail fait par Monsieur le Maire, (lourde tâche, à un successeur lourd qu’était André LABARRERE) à une course à l’échalote, afin de continuer le gros chantier de la ville de Pau, les lourds dossiers tel que le Casino Municiapal et toutes les autres affaires qui a été l’héritage d’Yves URIETA, lors de son éléction. Je sais que celui-ci sera un maire parfait pour notre ville, pleins d’initiatives et d’attention envers les palois. Les enfants (comme les adultes d’ailleurs), attendent avec impatience l’arrivée des fêtes de fin d’année, pour pouvoir aller patiner place Royale. Monsieur Labarrère a-t-il eu ce genre de pensée pour animer notre ville ? A bon entendeur.
> La Politique Culturelle d’Yves Urieta
8 novembre 2008
Les enfants (comme les adultes d’ailleurs), attendent avec impatience l’arrivée des fêtes de fin d’année, pour pouvoir aller patiner place Royale.
"je vois qu’un miroir aux alouettes vous suffit"
moi pas du tout... !! pauvre monsieur.
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