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Votre commentaire
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> Le livre d’or |
8 août 2012, par Françoise Idelovici
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Zut mon message est parti avec des fautes mauvaise manip, il faut que j’aille au cyberspace prendre des cours s’ils existent toujours, peut-être que cela coute trop cher
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> Le livre d’or
9 août 2012, par Daniel Sango
Attention, si vous vous mettez à Internet vous n’irez plus dans les médiathèques...
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> Le livre d’or |
6 août 2012, par Père Ubu
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Cornegidouille mon message est passé à la trappe.
Je disais donc que je me réjouissais de voir que
77% des votants pensent qu’il y a trop de médiathèques dans l’agglomération paloise . Nos gouvernants pourront continuer à régner sur un peuple de décervelés !
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> Le livre d’or
7 août 2012, par pehache
Comme la plupart des "sondages" d’A@P, la question est posée de but en blanc sans analyse préalable de la situation, juste à la suite d’un article qui dit que les médiathèque coûtent chers. Le but est ici de remplir une colonne, rien d’autre. Pas très sérieux.
> Le livre d’or
7 août 2012, par Daniel Sango
Comme la plupart des "sondages" d’A@P, la question est posée de but en blanc sans analyse préalable
Un sondage est un sondage, alors que vous terminez votre fromage vous recevez un coup de fil de SOFRES et on vous demande si vous pensez qu’il faut plus de salle de cinéma dans votre ville ou si vous pensez que les finances de la France vont s’améliorer avec une réponse dans la seconde.
Au moins là vous avez tout le temps de réfléchir à la question en lisant un article et l’avis d’autres lecteurs.
Très sérieux
> Le livre d’or
7 août 2012, par pehache
Très drôle, D.Sango...
En 24h une centaine de réponse. Combien d’après vous ont réfléchi plus de 10 secondes à la question posée avant de cliquer ? Combien ont pris le temps de se documenter sur ce sujet -ce qui implique quand même quelques recherches personnelles-, de se forger une opinion argumentée, etc ? Combien ont-ils même seulement lu votre article d’un bout à l’autre ? A moins d’être naïf ou de mauvaise foi, la réponse risque d’être sévère...
De plus, même si il apporte des éléments de réflexion, votre article est très partiel, il n’expose que votre thèse (et aucune antithèse), et en fait n’aborde la question du nombre de médiathèques qu’à la marge et uniquement sous l’angle du coût. On sait très bien que souvent c’est le dernier qui a parlé qui a raison et que les indécis, après avoir lu votre article, vont cliquer sur "Oui". Rédigez un article vantant les médiathèques publiques et demandez si il faut maintenir les médiathèques existantes, et vous aurez une majorité de oui aussi. Bref, votre article, en ne présentant qu’une facette et qu’une opinion, oriente fortement le résultat du sondage. Et c’est pareil pour tous les sondages de ce genre, qui n’ont aucune valeur.
D’ailleurs quand vous parlez de trop de médiathèques, de quoi parlez-vous ? Des petites ? Des grosses ? Des centrales ? Des annexes de quartiers ? On ne sait pas... Donc finalement on ne sait même pas ce que les gens ont répondu tellement la question est imprécise.
> Le livre d’or
9 août 2012, par Françoise Idelovici
J’avais répondu en expliquant l’importance des bibliothèques de quartier mais mon message n’est pas paru, je récidive donc.
> Le livre d’or
8 août 2012, par Françoise Idelovici
trop de médiathèques et elles coutent trop cheres
Et oui, on peut faire dire à peu près n’importe quoi aux sondages.
De toutes façons ceux qui ne vont pas aux courses trouveront qu’on dépense trop pour l’hippodrome, ceux qui ne savent pas nager que l’on dépense trop pour les piscines, ceux qui ne vont jamais au concert que l’on dépense trop pour l’orchestre Pau-Béarn et ainsi de suite.
> Le livre d’or
8 août 2012, par AK Pô
Propos bien rafraîchissants, merci FI !
on pourrait rajouter que ceux qui ne paient pas l’ardoise du gaz GDF canal de Suez peuvent aimablement fracturer le schiste en toute opacité sondagière. Les diamants ne sont que pur carbone. Et l’homme, une copie conforme de son temps perdu.
> Le livre d’or
8 août 2012, par pehache
De toutes façons ceux qui ne vont pas aux courses trouveront qu’on dépense trop pour l’hippodrome, ceux qui ne savent pas nager que l’on dépense trop pour les piscines, ceux qui ne vont jamais au concert que l’on dépense trop pour l’orchestre Pau-Béarn et ainsi de suite.
Les politiques doivent néanmoins avoir des repères pour décider quelles sommes peuvent être consacrées à quelles activités, car on ne peut pas non plus mettre des M€ dans tout.
Un des repères peut être le prix de revient unitaire (par spectateur pour un spectacle/concert, par entrée pour un piscine, par prêt dans une bibliothèque, etc...). Et bien sûr par souci de transparence ce prix de revient devrait être connu du public.
> Le livre d’or
9 août 2012, par Maximo
Il y a d’autres critères moins sonnant et trébuchant : c’est l’effort que déploie l’organisme pour diffuser le plus largement au-delà de son étiage habituel. Le développement du sport amateur est un objectif moins quantifiable que le prix des places mais demeure analysable et c’est un critère. Quand l’orchestre fait un gros concert de vulgarisation au zénith (1e de l’an, juin) ou va jouer à Berlioz avec des jeunes du quartier après une année de travail en commun, il atteint parfaitement son objectif qui est bien autre que celui des seuls concerts mensuels de Beaumont. Je ne vais ni au concert ni au stade, mais je peux juger de l’intérêt collectif de ces entreprises. L’orchestre, c’est bien. Le sport pro, c’est nul et où sont les autres ? Que fera la médiathèque ? Où est le contrat avec l’éducation nationale, l’université, des MJC, qui sais-je encore ? Ce devrait déjà être enclenché. Demain sera déjà un jour perdu de trop.
> Le livre d’or
9 août 2012, par Maximo
Il y a d’autres critères moins sonnants et trébuchants : c’est l’effort que déploie l’organisme pour diffuser le plus largement au-delà de son étiage habituel. Le développement du sport amateur est un objectif moins quantifiable que le prix des places/spectateur mais demeure analysable et c’est un critère. Quand l’orchestre fait un gros concert de vulgarisation au zénith (1e de l’an, juin) ou va jouer à Berlioz avec des jeunes du quartier après une année de travail en commun, il atteint parfaitement son objectif qui est bien autre que celui des seuls concerts mensuels de Beaumont. Je ne vais ni au concert ni au stade, mais je peux juger de l’intérêt collectif de ces entreprises. L’orchestre, c’est bien. Le sport pro, c’est nul et où sont les autres ? Que fera la médiathèque ? Où est le contrat avec l’éducation nationale, l’université, des MJC, qui sais-je encore ? Ce devrait déjà être enclenché. Demain sera déjà un jour perdu de trop.
> Le livre d’or
9 août 2012, par pehache
L’orchestre, c’est bien. Le sport pro, c’est nul
Oui enfin, rien ne doit être tabou, pas plus l’OPPB que le reste. Ce n’est pas parce que l’OPPB fait des actions dans les quartiers ou autres que le reste ne doit pas être regardé. Sinon, on justifie aussi les subventions à l’Elan parce que l’Elan fait "des actions dans les quartiers".
La subvention par place de concert de l’OPPB (je parle des concerts mensuels) est élevée, et c’est d’autant plus discutable que 95% des auditeurs sont des abonnés, donc au final ça fait peu de monde qui bénéficient d’une très grosse subvention par personne et par an. Si l’objectif est de démocratiser les concerts de "musique classique" il faudrait peut-être commencer par réduire le contingent d’abonnés pour permettre aux non-habitués d’assister ponctuellement à un ou deux concerts par an, ce qui n’est pratiquement pas possible aujourd’hui : les concerts mensuels sont de fait réservés à un public restreints d’initiés.
> Le livre d’or
9 août 2012, par Maximo
Rien n’est tabou. Ma phrase lapidaire ne se voulait pas une généralité mais dire juste ce que je vois ici sur Pau où, même avec des défauts l’OPPB remplit sa mission quand le sport pro reste, si je puis dire, sur la touche. Ne sors pas ma phrase de son contexte PH stp, elle en devient idiote et bêtement provocatrice et, pis que tout, contraire à tout ce que je pense
> Le livre d’or
9 août 2012, par Françoise Idelovici
Un critère facile pour faire des économies, certes, un nageur en piscine coûtent horriblement plus cher qu’un "joggeur" qui courent sur un trottoir mais au vu du nombre de noyés cette année n’est-il pas judicieux que tout le monde apprenne à nager ?
> Le livre d’or
9 août 2012, par pehache
Un critère facile pour faire des économies, certes,
Non, un indicateur indispensable -parmi d’autres- pour permettre aux politiques de faire des choix, ce qui est leur rôle. Indicateur à mettre en balance avec l’utilité sociale de l’activité subventionnée.
Si on ne fait pas cela, c’est la porte ouverte à toutes les dérives.
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> Le livre d’or |
6 août 2012, par Père Ubu
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Cornegidouille, je me réjouis de voir que 77% de votants pensent qu’il y a trop de médiathèques sur l’agglomération paloise ! Nos gouvernants pourront continuer à régner tranquillement sur un peuple de décervelés !
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> Le livre d’or |
6 août 2012, par Larouture
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Quelques éléments modérateurs :
N’y a-t-il pas, avec ce type d’équipement public, un effet multiplicateur sur l’activité en ville ?
N’est-ce pas un investissement d’avenir que de miser sur la culture ?
Un objectif « rentable » ne serait-il pas d’arriver à faire de de la place de la République (élargie) une centralité ?
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> Le livre d’or
6 août 2012, par Daniel Sango
Je ne remets pas en question ni la culture ni les investissements qui l’accompagnent.
Simplement il y a l’impérative nécessité d’être efficient, avec les investissements les plus judicieux et un fonctionnement performant.
> Le livre d’or
9 août 2012, par Françoise Idelovici
Et qu’est ce que c’est pour vous les investissements les plus judicieux ? Mon message a été tronqué, s’ils vous plait essayez de le citer en entier. J’expliquai l’importance des petites médiathèques comme "Arbizon" "Trait d’Union", "La Pépinière" .... Lorsque j’étais enseignante à l’Ousse des bois, J’ai inscrit mes élèves à la bibliothèque Trait d’union, les animations y attirent aussi les enfants,et ils peuvent y aller seuls, cela aurait été impossible si je les avais inscrits à celle du "Square Laffond". Je vois aussi dans ces médiathèques de quartier des gens âgés qui viennent lire les journaux, s’ils devaient prendre le bus, ils ne sortiraient pas de chez eux.
> Le livre d’or
9 août 2012, par Daniel Sango
Cet article a pour but de montrer quels sont les coûts de la fonction lecture pour le contribuable et comment ils se situent par rapport a une autre ville de taille similaire.
Avec une indication forte et toujours négligée par nos politiques : les coûts de fonctionnement sont beaucoup plus importants que les investissements qui sont souvent mis en avant.
La conclusion est que la fonction lecture est surdimensionnée dans l’agglo de Pau et donc qu’elle doit se rationnaliser.
Tout ceci n’est que bon sens et évidences.
> Le livre d’or
9 août 2012, par pehache
J’expliquai l’importance des petites médiathèques comme "Arbizon" "Trait d’Union", "La Pépinière" ....
Je suis assez d’accord. Mais la construction et le fonctionnement d’une médiathèque centrale surdimentionnée va à l’encontre de cela. Comme je l’ai déjà écrit, et vu que les caisses sont vides, la tentation va être grande à un moment de déshabiller les annexes de quartier pour faire fonctionner la médiathèque centrale.
> Le livre d’or
9 août 2012, par L’ OURS du Bois
le mode de fonctionnement futur des médiathèques de quartier est très simple.
vous sélectionnerez par internet les ouvrages désiré (de chez vous ou de l’accueil des médiathèques de quartier.
vous prendrez vos ouvrages sélectionné a J+1 et les retournerez à la médiathèque de votre choix.
un service navette est prévus(accès par le parking de la république)
donc , sauf l’usine, toutes les médiathèques aurons le même "fond commun, une gestion centralisée
> Le livre d’or
9 août 2012, par pehache
Quel rapport avec la choucroute ?
> Le livre d’or
9 août 2012, par L’ OURS du Bois
les annexes ne seront que des coquilles vides.
> Le livre d’or
9 août 2012, par L’ OURS du Bois
certaines associations réfléchissent au (x) moyen technique de faire du portage a domicile
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> Le livre d’or |
6 août 2012, par pehache
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Article bien documenté, et édifiant...
Après les palais des sports, de la musique, de la pelote, du kayak, Pau s’est offert son palais du livre. Sans regarder à la dépense.
Une réserve toutefois :
Je vous l’avais déjà dit (sans que vous en teniez compte), D.Sango, mais diviser le budget de fonctionnement par le nombre de prêts pour obtenir un coût par prêt, c’est spectaculaire mais ça n’a aucun sens : c’est ignorer toutes les autres fonctions d’un réseau de médiathèques :
consultation sur place
animations de toutes sortes
archivage et conservation
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> Le livre d’or
6 août 2012, par Daniel Sango
On peut tout discuter bien sûr, mais le prêt doit représenter plus de 90% de l’activité de service d’une médiathèque et 100% de celui d’une bibliothèque.
Je pense que cela a un sens, ne serait ce que pour que les citoyens ait une idée de l’ordre de grandeur.
> Le livre d’or
6 août 2012, par pehache
Non, là vous balancez un chiffre (90%) qui ne repose sur absolument rien.
> Le livre d’or
6 août 2012, par Maximo
+1 pehache : et la popularisation et vulgarisation du livre : s’il y avait eu plus de bibliothèques bien animées et bien dirigées, il y aurait aujourd’hui encore, plus de libraires
> Le livre d’or
9 août 2012, par Françoise Idelovici
"Doit représenter" est-ce votre opinion personnelle ou est-ce une évaluation que vous faites ? Je ne suis pas sûre des pourcentages que vous avancez, vous oubliez ce qui n’est pas quantifiable, rôle d’information culturelle et autres, salle d’études, , lien social,expositions, lecture su place .Fréquentez vous assidument les bibliothèques ( presque toutes des médiathèques maintenant)vous mêmes pour pouvoir vous prononcer aussi catégoriquement ?
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> Le livre d’or |
6 août 2012, par paysaa
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Si on devait vous suivre sur le terrain de cette froide "logique" mathématique on pourrait vous demander si vous avez calculé combien vous coûtez, vous, à la collectivité, et si il ne vous est pas possible de réaliser quelques gains de productivité sur votre personne..
Je ne pense pas que vous vous rendiez compte de l’inhumanité de votre dérive technocratique (pour rester aimable) et que nous sommes en train de subir une crise économique qui est directement liée à la généralisation de cette aberration...
Nous sommes en train de crever à force de technocratie. Ce sont des "technos" dix mille fois plus "compétents" que vous et moi qui ont pondu les modèles mathématico-informatiques ultra sophistiqués qui régissent le monde de la finance actuel au milliardième de seconde près.
Et pourtant, nous sommes face à une crise économique sans précédent...
Cherchez l’erreur !
Cela fait des années que des "supers spécialistes" sont aux manettes de notre économie et qu’ils nous bassinent, comme vous, avec des chiffres et des calculs "savants"...
Et pourtant, ces mêmes "pseudo-spécialistes" n’ont rien vu venir, pas même l’arnaque des "subprimes"...
Et pourtant ils nous ont "savamment" menés dans le mur d’une crise qu’ils continuent d’aggraver tout aussi "savamment" à force d’intégrisme arithmétique et d’aveuglement idéologique.
Et si encore ils la fermaient, mais non !
Ils nous prennent en plus pour des c..s en nous expliquant comment ils vont nous en sortir !?!?
Alors, de grâce, ne les imitez pas !
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> Le livre d’or
6 août 2012, par Daniel Sango
Vous mélangez tout Paysan et vous ne répondez en rien au problème posé.
La crise, elle est celle de pays sur endettés qui ont vécu depuis trente ans a crédit. C’est d’une simplicité que vous devriez comprendre. Ce qui est étonnant c’est qu’il ait fallu attendre 30 ans pour que "la crise" soit d’actualité.
Et ceci n’est pas dû aux technocrates, mais exclusivement à nos politiques, dont le souçi principal a été de se faire ré élire en passant la patate chaude de la dette au suivant.
Aucun n’a eu le courage de vraiment affronter la réalité.
La réalité c’est 10 points de PIB de dépenses publiques en France de plus qu’en Allemagne, soit 200 milliards d’euro par an.
Et dans cet océan, un petit ruiseau, celui de la dépense de l’agglo de Pau avec ses médiathèques (entre autres)...
Un rien, et beaucoup à la fois.
Mais au lieu de vous en prendre à on ne sait quels technocrates, dites nous un peu ce qu’il faut faire selon vous, en commençant par la les médiathèques de l’agglo.
> Le livre d’or
6 août 2012, par paysaa
La crise actuelle a été déclenchée par les "subprimes made in US", l’auriez vous oublié cher "spécialiste" ????
Et les "subprimes", d’où viennent-ils d’après vous sinon "d’immenses tritureurs de chiffres" et de "grands spécialistes" de la finance comme vous ???
C’est fou ce que vous pouvez être amnésiques à propos de cette crise et on peut le comprendre car elle est votre cette crise, celle d’un modèle économique décadent qui est le votre...
> Le livre d’or
6 août 2012, par Oscar du Pont
La crise de l’€ est une crise générée par des politiques publiques dispendieuses et n’a strictement rien à voir avec l’affaire des subprimes à laquelle vous ne comprenez visiblement rien non plus, paysaa. Le monde est bien plus compliqué que la bande dessinée des années trente que vous persistez à nous présenter comme votre doctrine économique. Vos glapissements ne pouront pas y changer grand chose non plus.
Je préfère quand vous nous parlez de vos baignades dans le Gave. Ça sonne moins faux.
> Le livre d’or
6 août 2012, par pehache
Mais oui bien sûr paysaa, c’est la faute des grands méchants financiers si les collectivités publiques, et notamment locales, dépensent à tour de bras.
> Le livre d’or
6 août 2012, par paysaa
Cela vous arrange bien d’être amnésiques, n’est-ce pas ? Comme ça vous pouvez ronger votre "nonos" anti-MLC en toute tranquillité.
Ainsi donc la crise bancaire de 2008 n’aurait jamais existé sur votre planète A@P ?!?
Quelle tristesse Messieurs, quelle tristesse !...
Heureusement que vous n’avez jamais rien gouverné mis à part, peut-être, quelques trésoreries de patronages.
Vous rendez vous compte ce que serait Pau, aujourd’hui, si ses dirigeants successifs avaient appliqué vos recettes de "ronds de cuir" à la petite semaine...
Pas de boulevard des Pyrénées, ni de Parc Beaumont, ni de Parc Lawrance, ni de hippisme...
Pas de Tour de France, pas de Palais des Sports, ni de Zénith, etc, etc..
Rien que le nécessaire, l’utile...
Pau n’existerait pas et l’homme serait encore singe.
> Le livre d’or
6 août 2012, par L’Aquitain
Ouvrez les yeux comme dit justement
Paysaa ,
Pau n’existerait pas....
Pas de Paysaa non plus ...
> Le livre d’or
7 août 2012, par pehache
Comme d’habitude paysaa noit le poisson et joue la victimisation. Et évite soigneusement de répondre à la question : en quoi la crise bancaire débutée en 2008 est-elle responsable des excès de dépenses des collectivités locales pour des futilités ?
Ensuite, il nous dit sans rire que le bd des Pyrénées ou le parc Beaumont ne sont pas utiles. Comme si l’urbanisme dans une ville était une futilité et pouvait se comparer à un palais des sports et un zénith surdimentionnés (comme tous les palais de Pau).
Je crois que là c’est la meilleure de l’année. Le boulevard et le parc "pas utile". Merci paysaa de nous faire rire.
> Le livre d’or
8 août 2012, par paysaa
Je n’avais pas l’intention de vous faire pleurer mais simplement de vous mettre le nez dans votre pas joli caca de "savants" casse-pieds, d’"érudits" emmerdeurs, de "doctes" enquiquineurs, de "nazis" de la précision dont tout le monde se fout, d’"ayatollahs" de l’arithmétique, de "chieurs" du sujet dont vous vous croyez porteurs de l’exclusive, etc, etc..
Mais surtout d’arnaqueurs de l’info car, derrière votre façade de "technicos-spécialistes colo-colo" et malgré la présence de deux ou trois "socialos" à la Besson/Kouchner dans vos rang, votre fond de commerce c’est d’abord de taper sur la municipalité de gauche et surtout sur sa chef de file...
Ah au fait ! Si il y a quelqu’un qui rigole, ici, c’est bien moi... surtout quand je lis vos "apprentis économistes" qui confondent faire des économies et faire de l’économie... Un peu comme les "spécialistes" qui sont en train de "suicider" l’Italie et l’Espagne..
Adishatz gouyat
> Le livre d’or
8 août 2012, par pehache
"nazis" de la précision dont tout le monde se fout
Et hop, paysaa franchit le point Godwin . Quand on n’a plus d’argument il n’y a que ça à faire en effet...
De même, quand on n’a pas d’argument on n’aime pas la précision. C’est compréhensible, car elle met à nu le manque d’argument, justement.
et malgré la présence de deux ou trois "socialos" à la Besson/Kouchner dans vos rang
Et votre courant c’est quoi ? Social-Traître ? Gauche caviar ? Ca doit être ça...
Toujours vos petites cases simplistes qui vous servent à interpréter le monde. Ca vous évite de devoir réfléchir sur le fond. Mais ce qui est marrant c’est de voir à quel point vous êtes à côté de la plaque même dans cet exercice : si vous connaissiez mes votes...
votre fond de commerce c’est d’abord de taper sur la municipalité de gauche et surtout sur sa chef de file...
Mais oui mais oui... Quand vous aurez fini votre numéro de Caliméro vous pourrez peut-être enfin répondre à la question :
"en quoi la crise bancaire débutée en 2008 est-elle responsable des excès de dépenses des collectivités locales pour des futilités ?"
Mais pour quelqu’un affirme sans rire que le bd des Pyrénées ou le parc Beaumont sont inutiles, je crais que ce soit une question beaucoup trop compliquée.
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> Le livre d’or |
6 août 2012, par Rêveur des villes
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Bravo pour cet article qui met en évidence une fois de plus l’incompétence extrême de nos édiles.
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> Le livre d’or
6 août 2012, par Rêveur des villes
cette médiathèque, comme nombre de services de la ville et de l’agglo n’est qu’un réservoir de clientélisme permettant d’octroyer des emplois en grande partie fictif encore et encore aux amis, fils, fille de M Untel, qui est bien avec...
Nos édiles s’acharnent à tout faire pour ruiner la ville (kayak, pelote, médiathèque géante etc) ! Allez, encore un petit effort, vous allez y arriver. Qui peut souhaiter la réélection de ces gens-là, à part ceux qui sont payés par eux directement ou indirectement ?
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> Le livre d’or |
6 août 2012, par Maximo
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"Il est évident qu’il existe un problème de fonctionnement dans l’agglomération Pau Pyrénées (...) et bien évidement dans la Direction de la Culture" On ne va pas demander son avis à l’actuel directicule plutôt que directeur de la culture qui est, au mieux, un mouton de panurge. Il ne pourrait donner ce qu’il n’a pas. En revanche, à Franz Delplanque, le précédent, dont on ne sait trop les conditions du départ il y a un an, on devrait !
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