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> Pau-Lourdes-Tarbes : Pour un "Conseil des Elus du Béarn et de la Bigorre" |
22 octobre 2012, par Larouture
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Le problème est que Tarbes a assumé son positionnement de ville moyenne et que Pau rêve toujours de jouer dans la cour des métropoles régionales.
Le prochain acte de la régionalisation devrait réduire le nombre de régions. La réunion de Midi-Pyrénées et de l’Aquitaine permettrait de rapprocher automatiquement Tarbes et Pau.
Mais Bordeaux et Toulouse chercheront à garder leurs prérogatives. L’Aquitaine trouvera des alliés au Nord. M. Raffarin est d’ailleurs partant avec Poitou-Charentes. Midi-Pyrénées lorgnera certainement vers le Languedoc-Roussillon.
Le rapprochement de Pau et Tarbes n’est donc pas évident.
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> Pau-Lourdes-Tarbes : Pour un "Conseil des Elus du Béarn et de la Bigorre"
23 octobre 2012, par HB
"Le rapprochement de Pau et Tarbes n’est donc pas évident" : pourtant le rapprochement entre le BAB et San Sebastian - Bilbao pourrait paraitre encore moins évident puisque ces communautés urbaines appartiennent non seulement à deux régions différentes mais elles sont également séparées par une frontière. Pourtant localement les décideurs politiques et économiques ont compris que leur destin était lié et se confortait : projets train-tram - aéroport commun - forte liaison économique... Ici les politiques et les économiques semblent vouloir préserver à tout pris une création du XVIIIème siècle (les Basses-Pyrénées : on pense encore à un aéroport Pau - Biarritz) et un schéma régional créé en 1955 mais pensé fin XIX ème- début XX ème. Il serait temps qu’ils se réveillent et réalisent que nous sommes en 2012 au début du XXIème siècle.
> Pau-Lourdes-Tarbes : Pour un "Conseil des Elus du Béarn et de la Bigorre"
23 octobre 2012, par Rêveur des villes
Je ne sais pas quels sont les projets mais aujourd’hui, il y a un aéroport à Bilbalo et un à St Seb (Irun).
> Pau-Lourdes-Tarbes : Pour un "Conseil des Elus du Béarn et de la Bigorre"
23 octobre 2012, par Maximo
N’exagérons pas non plus l’importance des relations B.A.B. - St Sébastien :
le projet train-tram ? On est très très loin de la coupe aux lèvres
l’aéroport commun ? idem et ce serait surtout car le développement de Fontarrabie est devenu impossible.
les coopérations économiques ? Regardez la concurrence farouche des deux hall de foires, Iraty et Irún, par exemple...
Non, le seul domaine dans lequel une coopération est à peu près sensible, c’est le domaine culturel et encore... Ne soyons pas trop sensibles aux discours. Et rien, strictement rien avec Bilbao !
En revanche, et là c’est un gros bel exemple, le Consortio, intercommunalité trans frontalière entre Hendaye, Irún et Fontarrabie est une vraie réussite. Même si aux compétences encore bien minces, elle existe ! Ça, c’est un exemple. Mais les trois communes se jouxtent...
> Pau-Lourdes-Tarbes : Pour un "Conseil des Elus du Béarn et de la Bigorre"
23 octobre 2012, par HB
Rêveur des villes, je suis d’accord avec ce que vous dites. J’ai volontairement forcé le trait pour souligner la dynamique qui s’enclenche au Pas Basque. Je suis fondamentalement d’accord avec l’article de Bernard B. et ce que disait précédemment Larrouture (avec une réserve - très forte - concernant la dernière phrase)
> Pau-Lourdes-Tarbes : Pour un "Conseil des Elus du Béarn et de la Bigorre"
23 octobre 2012, par Bernard Boutin
A propos, France 3 Côte Basque, nous a interviewé pour voir les réactions des Béarnais par rapport aux demandes Basques d’une "collectivité aux pouvoirs renforcés". C’est aussi passé sur France 3 Aquitaine :
http://www.pluzz.fr/jt-local-19-20---pays-basque-2012-10-23-19h15.html
> Pau-Lourdes-Tarbes : Pour un "Conseil des Elus du Béarn et de la Bigorre"
25 octobre 2012, par Emmanuel Pène
Entièrement d’accord : il faut arrêter d’être les esclaves d’un découpage adminstratif arbitraire effectué par quelques révolutionnaires dans des salons parisiens. Il n’empêche : ces découpages administratifs déterminent les mandants des élus, et là est le problème : il faut donc une structure commune, officielle, qui oeuvre pour le développement commun du Béarn et de la Bigorre, et qui regroupe les élus des différents conseils régionaux, généraux, et comunautés de communes concernés.
ça pourrait s’appeler "syndicat Pyrénées - gascogne" ce qui permettrait d’intégrer le sud des landes et du Gers ou "syndicat Béarn Bigorre" en version plus réduite.
Mais ça ne pourra voir le jour que s’il y a une volonté forte de réussir, et des porteurs de projets.

> Pau-Lourdes-Tarbes : Pour un "Conseil des Elus du Béarn et de la Bigorre"
25 octobre 2012, par pehache
Et hop, une couche de plus au mille-feuilles administratif.
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> Pau-Lourdes-Tarbes : Pour un "Conseil des Elus du Béarn et de la Bigorre" |
22 octobre 2012, par Jean Lafitte
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Loin de la LGV et autres projets d’avenir, je voudrais apporter une touche historique et culturelle.
Le Vicomte de Béarn fut longtemps comte de Bigorre, et les archives de Béarn, devenues celles des Pyrénées-Atlantiques, sont riches de documents intéressant la seule Bigorre, dont son fameux Cartulaire récemment édité par le Pr. Xavier Ravier.
Bien évidemment, quand ils ne sont pas écrits en latin, ces documents le sont dans la même langue gasconne que ceux du Béarn, même si les Béarnais la nomment "béarnais" depuis 1533.
Et cette langue, même si elle n’est plus parlée par les générations actives, c’est dans ces deux pays frères qu’on s’en préoccupe le plus de tout l’espace gascon, mais curieusement, chacun de son côté !
Alavetz... (alors), voilà encore de bonnes raisons de s’unir !!
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> Pau-Lourdes-Tarbes : Pour un "Conseil des Elus du Béarn et de la Bigorre"
25 octobre 2012, par Emmanuel Pène
Jean Lafitte a raison : la langue et la culture sont un élément fédérateur. Les basques l’ont prouvé.
> Pau-Lourdes-Tarbes : Pour un "Conseil des Elus du Béarn et de la Bigorre"
26 octobre 2012, par HB
Faites un tour au Musée ethnologique de Sabinanigo de l’autre côté des Pyrénées (remarquable inventaire d’outils agricoles - artisanaux et culturels traditionnels exposé avec leur nom aragonais) accompagné par un vieil agriculteur ou un vieil artisan de culture gasconne ou tout simplement occitane. Pour eux le vocabulaire est totalement transparent. Ici aussi la frontière linguistique n’existait pas.
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> Pau-Lourdes-Tarbes : Pour un "Conseil des Elus du Béarn et de la Bigorre" |
22 octobre 2012, par Jean Lafitte
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Loin de la LGV et autres projets d’avenir, je voudrais apporter une touche historique et culturelle.
Le Vicomte de Béarn fut longtemps comte de Bigorre, et les archives de Béarn, devenues celles des Pyrénées-Atlantiques, sont riches de documents intéressant la seule Bigorre, dont son fameux Cartulaire récemment édité par le Pr. Xavier Ravier.
Bien évidemment, quand ils ne sont pas écrits en latin, ces documents le sont dans la même langue gasconne que ceux du Béarn, même si les Béarnais la nomment "béarnais" depuis 1533.
Et cette langue, même si elle n’est plus parlée par les générations actives, c’est dans ces deux pays frères qu’on s’en préoccupe le plus de tout l’espace gascon, mais curieusement, chacun de son côté !
Alavetz... (alors), voilà encore de bonnes raisons de s’unir !!
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> Pau-Lourdes-Tarbes : Pour un "Conseil des Elus du Béarn et de la Bigorre" |
22 octobre 2012, par Rêveur des villes
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"La desserte directe du Béarn et de la Bigorre par LGV"
Toujours la même tarte à la crème. Ca aussi, ça frise le ridicule. BB nous la sert comme nos édiles. Aucun projet de LGV n’a jamais été financé sur de telles bases et de loin. On sait que nos édiles mentent. Mais tous ceux qui disent "LGV, LGV..." sans être élu : BB, Emmanuel Pène et bien d’autres... En dehors de Pau, personne ne parle d’un barreau MdM-Pau.
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> Pau-Lourdes-Tarbes : Pour un "Conseil des Elus du Béarn et de la Bigorre"
22 octobre 2012, par Rêveur des villes
Il existe des milliers de choses à faire pour rendre la ville plus attractive qu’une LGV non-finançable. Au lieu de dire "LGV, LGV...". D’abord, facilité l’accès à la gare actuelle et développer de l’activité et des logement autour. Le temps de trajet moyen "porte à porte" se trouverait déjà réduit.
Mais il n’y a pas qu’à Pau que se trouvent des édiles qui se montrent avec des projets factices : Marseille-Nice, Paris-Le Havre etc. Parler d’un projet sans celui de son financement possible, ce n’est pas très sérieux.
> Pau-Lourdes-Tarbes : Pour un "Conseil des Elus du Béarn et de la Bigorre"
22 octobre 2012, par Rêveur des villes
Le projet Bx-Toulouse est à la limite du finançable, mais peut l’être. Sans compter que Toulouse est la 4ème ville de France avec une zone urbaine de plus d’un million d’habitants. Plus l’aéroport de Blagnac qui va arriver à saturation. Et encore, la LGV s’arrêtera à 40 km de Toulouse...
Les lignes LGV risquent de s’arrêter ensuite à ce projet, l’état n’ayant pas les moyens d’entretenir un réseau ferroviaire plus étendu.
> Pau-Lourdes-Tarbes : Pour un "Conseil des Elus du Béarn et de la Bigorre"
22 octobre 2012, par pehache
La Rep vient de publier une compilation de délires aigüs sur les futurs transports en Béarn :
http://issuu.com/larepubliquedespyrenees/docs/cp_20121017/3
> Pau-Lourdes-Tarbes : Pour un "Conseil des Elus du Béarn et de la Bigorre"
22 octobre 2012, par Rêveur des villes
A Pau nous avons des élus visionnaires : stade de kayak et complexe de pelote du plus haut niveau mondial, médiathèque géante, clubs de sport pro hautement subventionnés... et ils nous disent qu’ils se battent pour la LGV, parce que l’état va leur octroyer 3 Mds € pour faire gagner 1/2 heure à qqes centaines de voyageurs par jour tout au plus, évidemment, pour leurs beaux yeux et 1 Md € pour Pau-(Oloron)-Canfranc pour une dizaine de voyageurs par jour en moyenne sur l’année.
A moins qu’ils ne nuisent gravement à la ville...
L’exemple de la LGV est inexcusable pour nos élus : soit ils mentent sciemment au lieu de s’occuper de trouver des solutions efficientes pour les transports en commun, soit ils ne se sont pas penchés un instant sur la faisabilité financière et alors, sont alors de la plus haute incompétence.
> Pau-Lourdes-Tarbes : Pour un "Conseil des Elus du Béarn et de la Bigorre"
22 octobre 2012, par Rêveur des villes
1 Md €... pour Pau-Oloron-Canfranc-Sarragosse.
> Pau-Lourdes-Tarbes : Pour un "Conseil des Elus du Béarn et de la Bigorre"
23 octobre 2012, par Daniel Sango
Le supplément de la Rep est incroyable !
Que penser de ces articles qui n’ont rien du journalisme objectif mais du document publicitaire pour vendre la soupe de la CCI avec de Stampa en grand chef des délires les plus délirants...
Jusqu’au TGV à Bedous !!!
Uhaldeborde savait il que son interview serait associé à ce non sens journalistique ?
La Rep, c’est pas beau ce que vous faites !
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> Pau-Lourdes-Tarbes : Pour un "Conseil des Elus du Béarn et de la Bigorre" |
22 octobre 2012, par Daniel Sango
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La stupidité et la soif de pouvoir de nos élus n’ont pas de limite.
Il n’est pas vrai qu’ils veuillent travailler ensemble.
Quand MLC parle de Pau et de son développement, c’est en se situant au centre de Bordeaux, Toulouse et Saragosse !
Du vent, c’est plus facile que de se rapprocher des voisins immédiats, car les deux agglomérations paloises et tarbaises se touchent pratiquement.
Et qu’on ne parle pas de limites administratives !
Dans les autres régions de France on voit des rapprochements productifs, ici chacun veut garder son pouvoir. Car mise commun egale perte de pouvoir.
Parlez donc a nos élus béarnais de PLU Intercommunal, d’Inter SCoT, etc...
De toute façon avant de vouloir se rapprocher avec Tarbes, il est nécessaire de construire une véritable agglomération paloise.
Quand les citoyens s’éveilleront...
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> Pau-Lourdes-Tarbes : Pour un "Conseil des Elus du Béarn et de la Bigorre" |
22 octobre 2012, par le coq
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En 63 c’était le plein emploi industriel dans la région, des entreprises brillantes et une économie en progression continue. Bref tout marchait très bien dans un cadre administratif respecté avec De Gaulle. Nous sommes dans l’inverse avéré sur tous les plans, rien ne va plus. A qui la faute ? à tous ceux qui sont encore aux gouvernes depuis trente cinq ans et plus et aux intellos de gauche qui ont tout fait dérailler. Je me rappelle certaines interventions qui disaient que l’université n’avait pas à former pour l’emploi régional et que les études devaient être sans rapport avec les besoins du pays. Vous avez ce que vous voulez et les médias sont responsables de ce résultat car il ne fallait surtout pas déplaire aux élus en place. Alors se taire me semble plus décent . continuez vos réunions "vins d’horreur". Le précédent article sur la prison de Pau peut s’appliquer à la gestion de la région, cherchez lez comiques.
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> Pau-Lourdes-Tarbes : Pour un "Conseil des Elus du Béarn et de la Bigorre"
22 octobre 2012, par Jacques Faget
Beaucoup ont la nostalgie qu’il n’existe pas une Région des Pays de l’Adour.Il y a à cela deux raisons. Tout d’abord en 1963, il n’y avait pas une "locomotive" politique dans les deux départements, qui puisse influencer les technocrates parisiens pour le découpage. En outre,parmi les 22 régions hexagonales françaises, le Limousin vient en dernier, mais il a quand même plus de 700.000 habitants. Autrement dit, nous n’atteignions pas le seuil critique de viabilité.
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