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Votre commentaire
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> Ustaritz à la dérive. |
21 janvier 2013, par Marc66
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à 5 ans !
La prendre en otage alors qu’elle n’y est pour rien .
Pfff lamentable adultes
sur le site ustaritz on a une maquette touristique avec plages et piscines
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> Ustaritz à la dérive. |
21 janvier 2013, par truitefario
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Ne s’agit-il pas là, au travers de la gamine, de règlements de comptes entre le père, le maire et la mère dont le silence fait poser questions ? Histoires dont on n’a pas à se mêler.
J’ai , une nuit, il y a fort longtemps, hebergé chez moi, un enfant de mon école que ses parents n’étaient pas venus chercher après la garderie.Sans me poser de questions, ni appeler la police. Et l’enfant n’en fut pas traumatisé,croyez-le.
Je frémis à l’idée de ce qui aurait pu m’arriver si,comme il est de bon ton de nos jours, j’étais tombé sur des parents procéduriers.
J’attends certes encore des remerciements de leur part , mais à l’époque , on ne faisait pas des histoires médiatiques au moindre évènement qui n’irait pas dans le sens des bien-pensants.
Pauvre de nous ! Qu’avons nous fait des relations humaines pour aller se plaindre ainsi à chaque occasion !!! Et de gens assermentés qui , au fond, n’avaient pour seul défaut que de porter une tenue vestimentaire différente des autres... Pas des tortionnaires sadiques, que des gens normaux. Parents aussi, sûrement plus honorables que ce père donneur de leçons.
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> Ustaritz à la dérive. |
21 janvier 2013, par Oscar du Pont
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Un examen objectif des faits vous aurait sans doute évité de verser dans la compassion larmoyante pour essayer de démontrer l’incapacité des élus à exercer le pouvoir de police qui leur a été confié. On sait bien, cher M Braud que ce pouvoir régalien est bien mieux utilisé et avec d’avantage de finesse et de subtilité lorsqu’il est contrôlé par "l’ Administration" et son impavide organisation hiérarchique qui en garantit l’efficacité et l’humanité...Il y a quelques années, on aurait peut-être confié, cette inutile mission à un garde champêtre, ou plus probablement, le maire ou un de ses adjoints s’en seraient chargés. Car comment ne pas voir dans cette affaire, l’incroyable indécence d’un père qui ose prendre à partie l’opinion pour régler un sordide conflit civil avec son ex-épouse, aux frais de la collectivité. Combien de temps faudra-t-il que nos élus acceptent que la déliquescence continue de la famille et la montée de l’irresponsabilité des parents reporte ses conséquences sur la solidarité publique et transforme le devoir en droit puis en dû ? On ne peut que féliciter les élus d’ Ustaritz d’avoir pris leur responsabilité en choisissant un cas qui relève de la provocation, en garants qu’ils sont de l’intérêt public, même si on peut regretter la manière qui, j’en suis persuadé sera très rapidement oubliée par la petite fille. D’autant qu’elle a été traitée de façon très humaine et même affectueuse semble-t-il par une brave mère de famille en uniforme. Son tort principal semble-t-il..
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> Ustaritz à la dérive.
21 janvier 2013, par Joël BRAUD
Vous avez peut-être raison de fustiger le comportement des parents, mais cela ne doit pas vous faire oublier que ce qui a été fait est illégal. Il existe des voies légales pour récupérer une créance. (huissier, référé etc.)
Maintenant si le strict respect de la loi vous importe peu, alors...
> Ustaritz à la dérive.
21 janvier 2013, par Oscar du Pont
Maintenant si le strict respect de la loi vous importe peu, alors...
Allons allons..J’ai cru comprendre que la décision d’exclusion de la cantine municipale avait bien été prise et signifiée à des parents qui en étaient donc prévenus. Une conséquence logique des impayés, pas nécessairement prise au hasard si en on croit des commentaires relevés dans Sud-Ouest
Michel Dupérou, adjoint au maire d’Ustaritz, relate aussi des litiges financiers entre la Ville d’Ustaritz et Laurent Ledain, à l’époque où il était gérant de SARL.
Alors ne confondons pas la lune avec le doigt qui la montre et sachons raison garder. La petite fille se souviendra hélas d’avantage de ses parents qui l’ont un jour abandonnée que de la policière municipale dont une enquête reste à devoir nous dire qui lui avait donné un ordre. On tremble à l’idée que la pauvre femme ait agi de son propre chef !
> Ustaritz à la dérive.
21 janvier 2013, par pehache
...même si on peut regretter la manière qui, j’en suis persuadé sera très rapidement oubliée par la petite fille.
Ca c’est vite dit, et vous en faites visiblement peu de cas.
Personnellement je suis loin d’être certain qu’être emmené devant tout le monde par quelqu’un en uniforme, même avec gentillesse, quand on a 5 ans, soit si anodin que ça.
Ce n’est pas parce que cet enfant a des parents irresponsables (si c’est le cas) qu’il faut en ajouter. Bien au contraire, car elle en souffre sûrement déjà suffisamment. Il y avait sûrement d’autres moyens que de l’impliquer.
> Ustaritz à la dérive.
21 janvier 2013, par Oscar du Pont
Certes et je n’ai jamais dit le contraire. C’est sur la hiérarchie des responsabilités que je suis intervenu.
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> Ustaritz à la dérive. |
21 janvier 2013, par truitefario
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Ainsi la petite fille serait la victime de la méchante maréechaussée ou malchaussée ou déchaussée !! On en oublierait les manquements de ses parents dont le père parade avec arrogance sur les médias après avoir laissé des ardoises ailleurs... et utilise la société pour se dédouaner.
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> Ustaritz à la dérive.
21 janvier 2013, par Bertrand
Alors maintenant l’inquisition commence. Le père aurait laissé des dettes à Toulouse, comme ci ceci expliquait cela.
Les temps sont durs pour ceux qui entreprennent en France... Mais là n’est pas débat.
Peu importe les torts, une dette peut se recouvrir par bien d’autres moyens et faire "payer" l’enfant reste profondemment immoral. Quant à tous ceux qui ne se sont opposés à rien, honte sur eux également. Je n’ose imaginer ce qu’ils auraient pu faire 60 ans en arrière...
> Ustaritz à la dérive.
21 janvier 2013, par Oscar du Pont
Je ne comprends pas. Personne n’ a pris cet enfant en otage pour recouvrer une dette. Il s’agissait simplement de cesser de l’augmenter. Quant au couplet sur le pauvre entrepreneur...Ce spécialiste en marketing et communication a voulu se mettre en scène comme une victime dans la presse locale. C’est à mon point de vue une circonstance agravante qui a bien entendu suscité les réactions de ceux qui attendent encore ses services, après les avoir semble-t-il payés. Mais comme il tient à le souligner, il a sa conscience pour lui et ira donc encombrer les tribunaux pour faire valoir ses droits et sa légitime indignation avec le soutien des bonnes âmes.
NB : c’est plus clair maintenant Péhache ? 
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