Pau Oloron : L’association CODE Béarn « Collectif pour les Déplacements en Béarn » demande une étude complète sur les déplacements privilégiant transports collectifs et aménagement des voies routières existantes".
"Suite au Grenelle de l’environnement, le ministre Jean Louis Borloo avait annulé les projets d’autoroutes dont la construction n’avait pas encore débutée. Parmi ceux-ci le projet A650 devant relier Pau à Oloron, ou plus exactement faire la jonction avec l’arrivée de l’autoroute A65 à Lescar et relier Oloron Gurmençon, la vallée d’Aspe et le Somport en reconstituant l’axe E7 du nord de l’Europe vers l’Espagne.
Le Conseil Général des Pyrénées Atlantiques et les intercommunalités de Pau, Oloron et Lacq ont constitué un syndicat mixte pour contourner le Grenelle de l’environnement et piloter une étude opérationnelle sur le même tracé avec la même configuration de voie rapide que l’A650 mais dénommée voie départementale et comportant un péage. Cette étude de 4M€ serait financée pour moitié l’Etat et le reste par la Région et les CdC.
L’association CODE Béarn « Collectif pour les Déplacements en Béarn » demande une étude complète sur les déplacements privilégiant transports collectifs et aménagement des voies routières existantes. A l’occasion de la 1ère réunion du syndicat mixte, le 27 mai, l’association lance une pétition demandant cette étude complète. Nous demandons également que l’Etat consacre ses financements à l’amélioration de la RN134 entre Pau et Oloron et que la Région réserve la somme prévue pour le ferroviaire."
Pour Code Béarn Yves Lepel Cointet
Toutes les informations sont accessibles sur le site www.codebearn.org ainsi que la pétition qui peut être signée en direct.
La note de synthèse jointe donne les éléments principaux du dossier consultable sur le site.
Verra-t-on un jour la majorité trop silencieuse des citoyens dire très clairement à la minorité "bien pensante" que ces combats sont d’arrière garde, et que pendant ce temps les Indiens à Bangalore créent des emplois, de la richesse et que bientôt Messier ou Lindt y développeront leurs usines... ?
> Pétition du « Collectif pour les Déplacements en Béarn » contre la Pau-Oloron
17 mai 2010, par Rêveur des villes
On produira jamais aussi bon marché qu’en Inde.
La seule façon de s’en sortir, c’est par l’innovation technologique plutôt que par des stades de kayak ou des complexes de pelote ou les excès de l’armée, de l’administation et autres dépenses publiques excessives.
Ce n’est pas une nouvelle route, à mon avis, qui va sauver à l’avenir Messier ou Lindt...
> Pétition du « Collectif pour les Déplacements en Béarn » contre la Pau-Oloron
17 mai 2010, par Rêveur des villes
Cela dit, Toyal voulait fermer à Accous pour (soi-disant) ouvrir une usine à Lacq.
Je ne sais pas combien de temps perdent les fournisseurs et la logistique de ses entreprises par rapport à une éventuelle nouvelle route, et ce que cela représenterait à l’année en coût financier et en coût "stratégique" éventuellement.
> Pétition du « Collectif pour les Déplacements en Béarn » contre la Pau-Oloron
17 mai 2010, par pehache
Le problème de Toyal n’était pas l’accès à l’usine d’Accous, mais la disponibilité à Lacq d’une plateforme de traitement des rejets chimiques.
Précision : il n’avait jamais été question de fermer l’usine d’Accous, mais de construire une nouvelle unité de production à Lacq.