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Votre commentaire
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> Pau - Parfum de mots |
29 octobre 2010, par Hélène Lafon
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Merci Claudiqus pour ce compte-rendu qui fait regretter de ne pas y être allé. Alors, c’est à quand la prochaine ?
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> Pau - Parfum de mots
29 octobre 2010, par claudiqus
Eh bien, Hélène, je sais qu’ils se sont donnés rendez vous (les conteurs) juste avant de se quitter, mais mon étourderie naturelle me fait hésiter ... je ne me souviens plus avec exactitude : 15 novembre ou 15 décembre ? ils l’ont noté sur leur agenda, mais je n’ai pas leurs références ...
> Pau - Parfum de mots
29 octobre 2010, par Carola
Joli compte-rendu Claudiqus que je suis ravie de découvrir, dont on sent votre coup de coeur pour les trois grâces.. 
J’avoue pour ma part avoir été très secouée par tous ces directs en direct. C’est autre chose que face à un écran plat. La proximité physique des conteurs au milieu de l’assemblée rend les émotions encore plus fortes et plus tenaces.
Un "TA é T OU 1 ?" respiré par Nicolas Vargas, accompagné à l’accordéon, nous rendait compte du dialogue de deux personnes après un événement non-dit...C’est un art de rendre irrespirable ou explosif une atmosphère avec trois bouts de mots et des sonorités. Pour moi ce fut renversant...

Autant qu’un slameur dans la mise en corps de ses textes...C’était ici le corps du texte au pied de la lettre ! 
Il y avait des jeunes et des moins jeunes, visiblement l’âge ne change rien à l’affaire du goût des mots. Il nous promène seulement et nous traque dans les recoins de nos imperfections...
Et puis un Christian Laborde découvert sur place, comme une moitié vivante, un frère, un double, l’ombre de Claude Nougaro. Son zoo du tour de France est excellent, probable extrait du spectacle "vélociférations" !
J’ai pour ma part découvert le taureau de Nay...

Il y a des artistes et des créateurs en béarn. A Paris c’est la loi du nombre qui souvent leur fait rencontrer une reconnaissance qu’ils espèrent par un carnet d’adresses... Ici, à Pau et comme dans toutes les provinces, c’est parce que les palois s’y déplaceront que la création vivra.
Acte militant pour notre intimité culturelle, acte de plaisir de s’y rendre par les ruelles du centre-ville, la création se nourrit de présence en présence. 
Bravo vraiment à tous ces passionnés, et à l’accueil simple et chaleureux du bar de l’entropie !
Prochain rendez-vous je crois, le 15 décembre.
> Pau - Parfum de mots
29 octobre 2010, par claudiqus
Merci, Carola, de rattraper un peu mes petites imperfections claudiqusiennes (qui a dit habituelles ?...) 
Coup de coeur, il est vrai ! pas seulement pour les nymphettes mais en particulier dois-je dire, pour un Christian Laborde (merci de l’avoir cité) dont la verve et l’expression verbale sont empreints du Grand Claude, dont on peut regretter le départ prématuré ... à l’instar d’un John Lennon ou d’un Desproges, dans un domaine différent, il aurait sans doute eu encore bien des choses à nous Nogarer !
J’ai beaucoup aimé l’évocation des barouds explorateurs citadins, marche erratique de deux compères en goguette et de leurs escales pittoresques !
"la pluie fait des claquettes, sur les trottoirs, à minuit" où le queue de pie vertical devait sûrement devenir oblique ... 
> Pau - Parfum de mots
29 octobre 2010, par AK Pô
Ce qui m’amuse, en suivant les commentaires, c’est qu’après avoir conspué (durant le débat sur la miséricorde) le spectacle du fils putatif du petit Taureau toulousain (les vélociférations), on en redemande !(je fais référence au forum d’A&P, Laborde avait eu le théâtre saint Louis pour lieu de la représentation, avec les "qui paie, sinon le contribuable", etc etc.
Allez, ici, Superstar, t’es gonflé à bloc, comment qu’ça démarre ? Sur des starting blocks. (Nougayork)
Parfum de "fame", et Vittorio gaze, man !
> Pau - Parfum de mots
29 octobre 2010, par Carola
J’avoue ne pas suivre très bien ce dont il s’agit mais j’ai le sentiment d’une controverse sur le personnage ....me trompe-je ?
> Pau - Parfum de mots
29 octobre 2010, par claudiqus
Ma foi ... j’avoue ne pas avoir assisté aux représentations du Théâtre St Louis, et ne rien savoir du tollé évoqué par AK Pô !
Mais limiter la synthèse au seul titre de fils putatif me semble un peu étriqué . 
C’est vrai que l’auteur de l’Os de Dyonisos ne peut qu’être controversé ! pour ma part, au dela de toute polémique, je me contente d’apprécier le personnage et sa prestation de dévoreur de mots, son goût du punch uppercuté et son appétit du dédi du non dit ... 
Controverse Christian Laborde
30 octobre 2010, par AB
AK Pô a raison, il y avait pas mal de controverse sur le personnage cet été...
Bernard Boutin a cité (9.8.2010) la chronique de C.Laborde sur Pau.fr. L’écrivain béarnais s’y moquait "des vapeurs, des sueurs" des palois incapables d’apprécier le projet "Vache sur le toit de l’ESAC".
BB a conclu : "Pau.fr a un rôle : informer. S’en prendre à l’opposition sans lui donner la possibilité de répondre est en dehors de l’esprit des ’Nouvelle Pratiques Municipales’... Au forum d’A@P de maintenant donner son avis. Essayez de le donner sur Pau.fr si c’est possible..."
Certains parmi nous se sont dit : "Oui, Chef !" Et nous avons donné nos avis...
Jean des Halles a écrit plusieurs chroniques sur les aventures de la Vache de la Miséricorde...
Et les palois de base se sont livrés à l’analyse du budget, du fonctionnement et de la réputation ce cette illustre école municipale des arts qui nous coûtera la peau des fesses.
> Controverse Christian Laborde
30 octobre 2010, par claudiqus
Merci AB pour ces précisions ! en fait, dit clairement de cette façon, je comprends mieux !... 
Mais ça n’avait rien à voir avec la soirée dont je parlais, et je maintiens mes commentaires et mon appréciation sur la personnalité du personnage et ses talents de conteur . 
> Controverse Christian Laborde
30 octobre 2010, par AK Pô
Claudiqus, je n’ai jamais dit le contraire, ce n’est pas Laborde que je dénigrais. Je n’ai aucune raison de le faire, entre l’homme et le métier, il y a l’ouvrage . A chacun le sien, et la vie qui va avec (ceci est valable pour tout le monde, bien sûr).
> Controverse Christian Laborde
30 octobre 2010, par AK Pô
Amis de la poésie, bonjour ! vous avez aimé l’os de D. ?Non ? Alors lisez No man’s land (de Louis Calaferte)
Merci AB ; pour une fois que je n’ai pas (trop) tort...
> Controverse Christian Laborde
30 octobre 2010, par claudiqus
No problemo, AK Pô !
> Controverse Christian Laborde
31 octobre 2010, par Carola
Ok ok ok, merci pour vos éclairages...je sentais bien un rififi sous roche, comme quoi quand on laborde les gens dans des occasions différentes, on en fait rarement le tour en une seule !
A dire en complément pour moi sur cette soirée, que Christian ne labordait pas en meneur de jeu....
...que se propose une suite en spectacle prometteur d’un Nicolas Vargas, auteur très habité, au théatre Bourbaki "Baloche 21"pour ceux qui restent en poésie... 
> Controverse Christian Laborde
31 octobre 2010, par claudiqus
Prévue pour quand, cette vingtéunième baloche ? et d’abord, c’est où le théâtre Bourbaki ?...
> Controverse Christian Laborde
31 octobre 2010, par Carola
www.theatrebourbaki.com
Nicolas Vargas a aussi une page sur Myspace...
> Controverse Christian Laborde
31 octobre 2010, par AK Pô
Un petit Vargas peut-il en cacher un grand ? Chi Llosa ?
"et d’abord, c’est où le théâtre Bourbaki ?... "
A côté de la prison (anciennement magasin de peintures, papiers peints, moquettes, rouleaux et pinceaux)et des restos du coeur, rue Bourbaki, quoi, enfin !
Claudiqus, ne vous trompez pas de porte : ce n’est pas tout-à-fait la saison des oranges, même chez les marchands de couleurs 
> Controverse Christian Laborde
31 octobre 2010, par claudiqus
Merci, merci pour cette profusion de renseignements précieux !

Pour le coup, AB j’irais faire de la poésie à barreaux rompus ...et je n’aime pas les agrumes pleins de vers !

> Controverse Christian Laborde
31 octobre 2010, par Carola
Beaucoup de précautions de votre part me semble t’il, Ak Pô, pour situer la couleur des lieux....dont je ne saisis pas vraiment la teneur.
Claudiqus a l’air très au clair, quant à lui, mais pour moi c’est un peu codé. La rue Bourbaki serait-elle donc infréquentable ?
Je suis tentée dès à présent de remballer ma robe de soirée et mes bijoux pour une tenue plus adaptée à cette aventure comment dire...un peu alternative peut-être ?!
J’irai par moi-même donc 
> Bourbaki nous voici Carola vous voilà !
1 novembre 2010, par AK Pô
Carola, la rue Bourbaki va du foirail à la rue Montpensier. Le théâtre s’est installé dans une partie des anciens locaux de Béarn peintures. Vous pouvez y aller en tenue de soirée, et pensez aux oranges, pour Claudiqus, on ne se sait jamais, il y a une grande porte bleue à proximité.
> Bourbaki nous voici Carola vous voilà !
1 novembre 2010, par Carola
Il y avait....
la porte bleue
de la boulangerie
et puis
l’épicerie
où un monsieur frileux
vendait ses caramels...
C’est pour me rassurer et rassurer Claudiqus
les paroles d’une superbe chanson interprétée par Serge Reggiani "déjeuner de soleil", le titre, je crois...
> Bourbaki nous voici Carola vous voilà !
2 novembre 2010, par claudiqus
Je préfèrerais des cacahuètes, si cela ne pose problème ! et puis, c’est moins encombrant ..
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