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> Magie à l’aéroport Pau-Pyrénées |
1 mai 2011, par le coq
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Bravo BB, la dernière fois que j’ai vu BB et son garde du corps c’était au RHC devant le "rafale". Au moins un des deux ne pouvait pas être "embarqué". Il a compris car il a pris un DC 3 et un Béluga pour le second. Ceci dit, dans le dénigrement AKPo devrait se taire : quelle compagnie n’a pas été renflouée à ce jour par les contribuables ? Les plus grosses en premier. Les DC3 n’ont toujours pas d’équivalents en services rendus en situations dangereuses et risques majeurs. Ils alimentaient l’Indochine, et tous les théatres d’opérations jusqu’à ce jour. (en Afrique, Amérique du Sud et autres. Le courage des hommes + la solidité de la machine mettent à l’honneur les ingénieurs qui ont conçu ce bel avion. Alors votre rebond économique mal à propos est de trop.
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1 mai 2011, par AK Pô
Le coq :"Ceci dit, dans le dénigrement AKPo devrait se taire"
Holà, garçon, apprends à lire ! je dénigre rien, je rappelle simplement que celui qui a mis en place l’Aéropostale est mort dans la misère. Bonjour chez vous et saluez Chantecler au passage du prochain Airbus.
> Magie à l’aéroport Pau-Pyrénées
1 mai 2011, par le coq
Un petit peu de mémoire.. L’aviation Française a toujours été à charge des contribuables, le premier avion Caravelle a "équilibré" au 235 ème exemplaire sur 245 construits. Il a fallu le passage au privé international pour retrouver le profit - comme Renault et quelques autres donneurs de leçons. Quant à "la Poste" spécialiste des jours de grèves même constat. D’ailleurs si on est dans un tel marasme à qui la faute ? En ce jour du premier Mai, le succès syndical, démontre que la vérité n’est plus dans les privilèges des grandes entreprises. Mieux vaut Chanteclair que "cloche merle".
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3 mai 2011, par Pierre GABRIELE
Eh "le poulet", c’est moi que tu appelles "garde du corps" ?
Donc je rencontre deux fois BB dans un meeting aérien (où je vais systématiquement porter mon objectif) et je suis devenu son garde du corps. En général on les prends jeunes et costauds :) .
Je ne comprends pas le "au moins un des deux ne pouvait pas être embarqué", cela veut dire que nous étions là pour briguer une place dans le DC3 ?
Loupé aussi, car j’ai fait mon temps (15 ans dans l’Armée de l’Air) et ne suis plus que témoin après avoir été acteur...
Une petite visite sur mon site avant de "balancer" aurait été utile. Ceci étant dit sans agressivité et avec humour, ce qui n’est pas facile à deviner sur un écrit.
À voir la démonstration du DC3 à Falaises (2004), il était prudent, là, de rester spectateur...
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1 mai 2011, par Louis H
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L’historique paraît confondre 2 sociétés différentes.
Un petit livre "les plus légers que l’air" (collection Ciel de Pau aux Ed Cairn) en donne l’histoire pp. 96 et suivante , documents à l’appui
la Compagnie Générale Transaérienne a été fondée en 1898 avec une vocation "touristique"
lui succède la Cie Générale de Navigation Aérienne, crée en 1908 par le consortium de l’industriel Weiller (le même qui acheta le brevet Wright et qui fit venir les deux frères Wright à Pau début 1909)
la Cie prévoit un réseau de 4 lignes aériennes (entre Paris, Bordeaux, Pau, Reims, Bruxelles, Nancy, Lucerne ) parcouru par des dirigeables, d’où en juin 1909 la commande de 4 dirigeables Astra et la construction de hangars
la Ville accorde (contre redevance annuelle de 1 franc) la concession de 18 hectares du Domaine de Sers où sera la station dénommée Cie Transaérienne Astra et son hangar long de 100 m.
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1 mai 2011, par AK Pô
Marcel Bouilloux-Lafont
Le vieux zinc nous rappelle un tout plein de légendes : St Ex, Mermoz, Dauret, l’Aéropostale.
Mais en 1931, l’Aéropostale était mise en liquidation, en grande partie à cause de la crise économique qui frappait alors le monde, depuis le krach de la bourse de New York en 1929, mais également en raison du refus du monde politique français de soutenir l’Aéropostale.
Ni l’Aéropostale ni Marcel Bouilloux-Lafont ne profiteront de l’extraordinaire position de force que cette entreprise courageuse avait su acquérir dans le continent sud-américain.
Le 31 octobre 1933, l’Aéropostale dut fusionner avec d’autres compagnies aériennes françaises pour donner naissance quelques mois plus tard à la S.A. Air France, qui deviendra notre grande compagnie nationale. Marcel Bouilloux-Lafont est mort en février 1944 à Rio de Janeiro, ruiné et oublié de la plupart des Français alors que son œuvre est célébrée dans toute l’Amérique du Sud.
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