|
Votre commentaire
|
> Les « NPM » : l’information plutôt que la Com’’ |
11 décembre 2007, par Alex
|
La communication au ralenti, à moins qu’elle soit à hiberner ?
Sur pau.fr un avis daté du 11 décembre
http://pau.fr/la_vie/habitat_et_transport/20071211_163510
" Délivrance des badges à compter du 3 décembre :
du lundi au vendredi de 8h à 19h sans interruption
le samedi 8 décembre cette permanence se tiendra de 8h à 18h"
Il était temps de l’annoncer (seulement 8 jours de retard), surtout pour ceux qui auraient pu venir le samedi 8 décembre s’ils avaient été avertis.
Quand est-ce donc que la ville de Pau aura la volonté d’informer, au lieu d’investir dans une Communication qui passe à côté de l’essentiel ?
|
|
> Les « NPM » : Les Conseils et Adjoints de Quartiers |
6 novembre 2007, par L.L
|
Amiens, ville modèle...
Et devinez qui est le maire d’Amiens.
C’est mon copain, Gilles de Robien !
Le leader de "Société en mouvement"
L.L 
|
|
> Les « NPM » : Les Conseils et Adjoints de Quartiers |
5 novembre 2007, par Saint-Just
|
Scoop : je suis candidat à un tel poste. Que faut-il faire finalement ? Etre sur le terrain, aux côtés de ses concitoyens, dans les bons et les mauvais moments, écouter, fédérer, collecter, agir... Un clone du Maire lui-même ? Pas si loin. On peut même envisager d’aller plus loin, et le nommer "manager" des services techniques. Un responsable d’un "business unit" dont l’objectif est le profit... faire fructifier le bonheur au profit de tous !
Sincèrement.
|
> Les « NPM » : Les Conseils et Adjoints de Quartiers
6 novembre 2007, par Jerlau
Saint-Just,
L’idée progresse ! Les quartiers doivent être autonome pour régler leurs petits problèmes avec un "manager", un budget, et il rend compte sur le PBC en temps réel !
Au total (municipalités + agglo) cela coute 400 Millions d’Euros, une paille, soit en équivalent :
une usine sortant 8 à 10 Airbus par an : au bout de 6 ans, l’agglo pourrait avoir une flotte de 60 Airbus ! Avec 600 ME de revenus, (les Palois, les doigts de pied en éventail !)
une usine sortant 40 000 voitures par an (une voiture gratuite pour chaque famille paloise tous les ans !)
la construction de 4000 logements d standing de 50 M2 de moyenne à 2000 E le m2 (onreconstruit la ville entière en 6 ans)
(si vous avez d’autres comparaisons...)
On reste un peu sidéré du volume du budget total ( 400 ME) par rapport à des équivalences de ce type.
Alors les "managers" de quartiers ont une grande marge de progrès devant eux. Ils ne risquent pas grand chose
> Les « NPM » : Les Conseils et Adjoints de Quartiers
6 novembre 2007, par Al’Berthe
Oui ,et pourquoi pas pour couronner le tout un super coordonnateur des managers de quartier !!!!parce qu’il faudra bien trancher entre les demandes des uns et des autres ,on ne pourra sans doute pas tout faire , certaines demandes seront même peut être contradictoires ....alors ,puisque l’on veut éviter au maire de faire ....ce qui en fait est son boulot ....eh bien il va falloir mettre la main à la poche !et pas forcément pour un meilleur résultat ....mais pour le plus grand bonheur des managers de quartier ,qui ne manqueront sans doute pas de récolter ,outre le parfum du (petit)pouvoir,quelque indemnité supplémentaire pour la tache écrasante !ne serait il pas aussi simple de prévoir des visites régulières, programmées ,du maire dans les quartiers , une rencontre directe avec les habitants (pas filtrée par un conseil ou un comité quelconque) , pour dialoguer ?
> Les « NPM » : Les Conseils et Adjoints de Quartiers
6 novembre 2007, par Jerlau
Cela fait très longtemps que j’essaye d’orienter les discussions sur le budget non pas à 10 ou 20% près ; mais sur l’ordre de grandeur : 400 Millions d’euros c’est une somme énorme ; vous n’avez pas ce sentiment ?
l’eau à Pau c’est 8 ME, les bus 15 ME, ; comment fait-on pour arriver au total à 400 ME ?
Suis je le seul à trouver cela démesuré ?
> Les « NPM » : Les Conseils et Adjoints de Quartiers
6 novembre 2007, par Phil
à Al’Berthe
Justement ces conseils sont prévus par le législateur pour faire remonter les demandes et préparer les dossiers, dans la transparence. Ensuite c’est le boulot du maire d’arbitrer et d’expliquer les choix et les priorités (ce n’est pas justifié que ce soit au maire de prendre en charge le respect des heures de sortie des poubelles, par exemple). Pourquoi cela serait-il impossible à Pau, quand des villes plus importantes ont des comités de quartiers actifs et efficaces, travaillant avec des adjoints ayant une responsabilité dans le cadre d’une délégation du maire ?
> Les « NPM » : Les Conseils et Adjoints de Quartiers
10 novembre 2007, par Pierre-Henri
Il y a en au moins un, ou une, qui vit sur terre...
J’applaudis des deux mains à votre intervention. Les quartiers n’ont pas besoin de budget (d’autant qu’il y en a qui sont plus que servis puisque ils servent de base électorale...) ou de super managers, et pas plus de grands "y’à qu’à" et de petits "faut qu’on", mais de citoyens motivés pour s’occuper de ce qui est leur vie quotidienne et d’élus qui les écoutent, et surtout les entendent, en dehors des périodes électorales, et cela est le plus difficile à trouver.
Je vous suggère de lire ce que j’ai déjà écrit le 18 octobre sur l’exercice de la démocratie locale...
il ne manquerait plus après l’Europe, la Nation, la Région, le Département, le "Pays de...", la Communauté d’Agglos et la Commune qu’on nous ajoute "le Quartier de..." avec un Président, et pourquoi pas un hôtel de quartier, des chauffeurs, des secrétaires...pour que nos derniers euros non encore pris par les divers impôts s’envolent définitivement. Je sais que je suis un peu excessif mais il vaut mieux en rire qu’avoir à en pleurer...Je suis dans un Comité de Quartier et prêt à expliquer à ceux qui n’ont que des idées, et surtout des idées comme disait Coluche, ce qu’est la réalité du terrain.
|
> Les « NPM » : Les Conseils et Adjoints de Quartiers |
5 novembre 2007, par Emilie RANCES - Pseudos : Agnesota & Secnar
|
La proximité reste un élément essentiel d’une politique locale active à mon sens. Je pense qu’il s’agit même d’une démarche incontournable.
Il faut que les citoyens se sentent "exister" dans leur ville, et que ce ne soit pas uniquement de "la poudre aux yeux", il faut les écouter attentivment pour identifier leurs besoins, voir prendre en considération et ce de façon tout à fait sérieuse leurs suggestions quant à la gestion de leur ville.
N’est-ce pas cela qui aurait fait défaut ces dernières années et démotiverait les électeurs à se déplacer aux urnes ?
L’adjoint de quartier me parait être la meilleure solution à laquelle la ville de Pau doit avoir recours. Il en va du maintient d’une liberté d’expression indépendante des politiques et d’une promiscuité à cultiver. Notre société voit en effet bien souvent des personnes cohabiter les unes à côté des autres, isolées. Ce mode de gestion de la ville permettrait également de pallier à ce phénomène !
|
> Les « NPM » : Les Conseils et Adjoints de Quartiers
6 novembre 2007, par Autochtone palois
Le consensus sur A@P est clair : il faudrait des adjoints de quartier, ayant délégation, c’est-à-dire un certain pouvoir qui leur est délégué par le maire.
Reste à savoir avec qui ils discutent pour assurer la meilleure représentativité de la population du quartier :
Une assemblée qui est la reproduction du conseil municipal, contrôlée par la mairie, qui fait de la pub pour elle,
ou bien une association loi 1901 créée "spontanément" par les habitants du quartier ? La solution association loi 1901 me parait la plus juste, mais à condition que ces associations de quartier existent. Ce n’est généralement pas le cas aujourd’hui à Pau, du moins si elles existent, elles n’ont pas pour but principal de servir d’intermédiaire, de lien, entre population et mairie.
> Les « NPM » : Les Conseils et Adjoints de Quartiers
6 novembre 2007, par jerlau
Au niveau du quartier ce n’est pas une question de représentation politique, c’est surtout une question de gestion des problèmes du quartier ( les trous et autres..) avec un budget et des comptes à rendre. C’est surtout cela.
Il y a un très grand nombre de problèmes qui peuvent se gérer au niveau du quartier (travaux, entretien, ordures, ..) d’autres comme les écoles, au niveau des associations de parents d’élèves. Il n’y a pas que les quartiers.
Il y aura toujours des compétences et des bonnes volontés pour prendre en compte les problèmes.
Sur le même plan je me rappelle d’une boite où on avait viré les bureaux, (divisé par 10 les effectifs de bureau) et on avait crée entre autres les "ouvriers controleurs de gestion" qui avaient accès aux comptes depuis l’usine au poste de travail.
Le comité ouvier capitaliste ! C’était terriblement efficace. Pour négocier avec les fournisseurs et assurer la relance clients, ils valaient bien l’expert Excel !
Les comités de quartier et les associations type parents d’élèves, rien de tel pour descendre les budgets.
|
|
|
 |
|
|
|